Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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 WAGNER APRÈS WAGNER

Année 1817

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par Nicolas CRAPANNE

1er janvier 1817

Le compositeur et musicien Carl-Maria von Weber prend officiellement ses fonctions comme directeur de l’Opéra de la cour royale de Saxe à Dresde.

Eté 1817

Carl-Maria von Weber fréquente beaucoup le couple Geyer et ses enfants.
Carl Maria von Weber fait la connaissance du jeune Richard très vite, dès la plus tendre enfance du jeune garçon comme celui-ci l’écrira plus tard dans Mein Leben, ses mémoires : « Dans une pièce montée pour l’occasion du retour de captivité du Roi de Saxe et mise en musique par le maître de chapelle Carl Maria von Weber, je représentais un ange, en maillot avec des ailes au dos, et je figurais dans le tableau vivant dans une position gracieuse fort difficile à prendre et à garder. »
Weber devient une sorte d’idole pour Wagner, et le Freischütz, l’opéra majeur de Weber, une œuvre toute particulière pour le jeune enfant (il fait lui-même quelque temps plus tard, en 1825, une – très modeste – adaptation de l’opéra de Weber pour le cercle privé de sa famille)

MVRW-Freischutz-Caspar-Friedrich
« Le Freïschütz » de Carl Maria von Weber (ici l’épisode de la Gorge aux Loups peint par Caspar Friedrich), l’une des premières révélations théâtrales et musicales de Richard Wagner.
 

Automne 1817

Ayant tout juste quatre ans et demi, Richard Wagner paraît en ange dans un tableau vivant (Les Vignobles des bords de l’Elbe). Il fréquente alors l’école du vice-cantor de la Cour Friedrich Schmidt

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„Wen ruf’ ich zum Heil, daß er mir helfe? Mutter, Mutter! Gedenke mein!” : dans quelle situation Siegfried chante-t’il ce cri désespéré appelant à l’aide ?

Réponse : Lorsqu'il est surpris de découvrir que sous l'armure (Brünne) se trouve non pas un homme endormi, mais Brünnhilde.

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