Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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 WAGNER APRÈS WAGNER

Année 1832

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Hiver 1832,

Richard Wagner se rapproche de la maison d’édition Breitkopf & Härtel qui se décide à imprimer – c’est la première édition d’une œuvre sous le nom du compositeur – la Sonate en si bémol majeur, WWV21, composée l’année précédente, et ce, sur l’instigation de Weinlig.

23 février 1832

L’Ouverture de concert en ré mineur, WWV20 (Ouverture de Concert n°1) donnée l’année précédente sur la scène du théâtre de Leipzig est, cette fois, donnée sur la scène du Gewandhaus. Elle y rencontre un très grand succès de la part d’un public enthousiaste. Cette œuvre, « encore fortement inspirée de l’Ouverture de Coriolan de Beethoven » (Mein Leben), remporte un certain succès auprès du public, et fit « naître un sourire d’espoir sur les lèvres de (ma) mère. » (Mein Leben)

MVRW Roi Enzio affiche
Affiche pour Le Roi Enzio, drame d’Ernst Raupach, pour lequel Wagner composa une Ouverture et une Musique de scène (WWV24)

6 mars 1832

Sur la scène du Théâtre de la Cour de Leipzig, on donne Le Roi Enzio, un drame d’Ernst Raupach, pour lequel Richard Wagner compose une Ouverture ainsi qu’une Musique de scène (WWV24).

Durant l’été 1832,

Richard Wagner s’attelle à la composition d’une nouvelle Symphonie – au style personnel encore assez peu marqué, et très inspirée de l’oeuvre de Beethoven – et dont la composition lui prendra très exactement six semaines. Il s’agira de la Symphonie en ut majeur, WWV29.

Novembre 1832

Première au Conservatoire de Prague de la Symphonie en ut majeur, WWV29.

L’année 1832

est principalement marquée par le second projet d’opéra de Richard Wagner (après Schäferoper), Les Noces (Die Hochzeit), qui demeure inachevé.

Wagner est alors à Prague où il est « retenu » par Friedrich Dyonis Weber (compositeur et musicologue bohémien, alors directeur du Conservatoire) qui perçoit l’originalité du jeune musicien et fait jouer sa Symphonie en ut majeur. C’est pendant ce séjour que Wagner écrivit son premier opéra, Les Noces, sur un livret écrit par lui-même. Pour ses personnages, il invente des noms étranges et il envoie ce qu’il considère comme un chef-d’œuvre à sa sœur Rosalie qui, très franchement, lui conseille de brûler ce manuscrit lugubre. Wagner obéit sans broncher, faisant preuve d’une humilité qui lui est peu commune, ce qui fait qu’il ne reste rien aujourd’hui ni de l’œuvre ni de son livret. Vibrant hommage du jeune garçon à la clairvoyance de sa sœur cantatrice.

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Sommaire
Quel compositeur aurait dit de Wagner : « Pour moi, Wagner est impossible ; c’est certes un homme d’esprit, mais il parle à n’en plus finir. On ne peut pas discuter avec lui ».

Réponse : Robert Schumann. Wagner, quant à lui, raconte : « Nous sommes en bons termes en apparence ; mais on ne peut pas fréquenter Schumann... Peu après mon arrivée à Paris, je lui ai rendu visite, je lui ai raconté une foule de choses intéressantes... Schumann me regardait toujours sans bouger ou regardait en l'air et ne disait pas un mot. Alors je me suis levé d'un bond et je me suis enfui. »

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