Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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L’AVENTURE DE BAYREUTH

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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

Theodore Guido APEL

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(né le 11 mai 1811 – décédé le 20 novembre 1867)

Auteur dramatique

Si Theodor Apel vouait une admiration sans borne à la littérature ainsi qu’à la poésie, c’est qu’il fut très largement influencé par son père August Apel, poète et auteur dramatique connu pour ses récits gothiques et horrifiques et gothiques qui faisaient fureur au romantisme du début du XIXème siècle. August Apel contribua même par sa plume au recueil de romans et de nouvelles connus sous le titre de “Gespensterbuch” (Le Livre des fantômes) dont Carl Maria von Weber tira son inspiration pour son Freischütz.

C’est sur les bancs de la Nikolaischule que le jeune Theodor Apel fit la connaissance de Richard Wagner. Les deux jeunes adolescents se lièrent immédiatement d’amitié ; Apel était de deux ans l’ainé du futur compositeur. De 1830 à 1834, Apel étudia le droit à l’Université de Leipzig, puis d’Heidelberg où il fit la connaissance de Robert Schumann alors dans la même promotion que lui.

Diplômé en droit, il servit néanmoins les Muses et devint poète. Fidèle ami de Wagner, Apel encouragea le jeune compositeur dans ses passions et idéaux. L’amitié de Wagner était un peu moins désintéressée, Apel étant d’une famille fortunée.

Wagner mit en musique plusieurs œuvres littéraires de Theodor Apel, dont la composition pour piano Glockentöne d’après un poème de son ami. En 1835, Wagner composa une musique de scène pour le drame historique « Columbus » de Apel. Il utilisa dans cette Columbus Ouvertüre WWV 37 une série d’onomatopées préfigurant un des aspects de l’œuvre wagnérienne pour décrire le voyage de Colomb à travers l’Atlantique et son arrivée en Amérique. Apel le remercia en lui offrant une chevalière en or, qui fut rapidement mit au clou à Nuremberg par le compositeur désargenté.

Devenu aveugle en 1836 suite à un accident de cheval, il laissa son empreinte à Leipzig grâce à ce que l’on appelle les Apelsteine. A partir de 1863, il commanda en effet plus de 44 pierres tombales pour marquer la Bataille des Nations de 1813.

apelsteine

SB/NC

 

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TRISTAN ET ISOLDE (Tristan und Isolde), WWV90 : LES PARTITIONS

(avec l’accord du site internet www.imslp.org) accès à l’intégrale de la partition chant/orchestre en cliquant sur le lien suivant : http://hz.imslp.info/files/imglnks/usimg/7/77/IMSLP66167-PMLP03546-Wagner-WWV090.pdf Éditeur First edition (reprint) Informations sur la maison d’édition Leipzig: Breitkopf und Härtel, n.d.[1860]. Plate 10000. Réimpression New York: E.F. Kalmus, n.d.(1933-70). Droits d’auteur Domaine public accès à l’intégrale… (Lire la suite)

Sommaire
Quel compositeur aurait dit de Wagner : « Pour moi, Wagner est impossible ; c’est certes un homme d’esprit, mais il parle à n’en plus finir. On ne peut pas discuter avec lui ».

Réponse : Robert Schumann. Wagner, quant à lui, raconte : « Nous sommes en bons termes en apparence ; mais on ne peut pas fréquenter Schumann... Peu après mon arrivée à Paris, je lui ai rendu visite, je lui ai raconté une foule de choses intéressantes... Schumann me regardait toujours sans bouger ou regardait en l'air et ne disait pas un mot. Alors je me suis levé d'un bond et je me suis enfui. »

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