Beaucoup plus libérée des précédentes compositions du jougs de son Maître Theodor Weiling, l’oeuvre est, comme son nom l’indique, beaucoup plus fantasque.
Si certains musicologues y ont vu des embryons des compositions ultérieures, on y retrouve surtout, de manière lancinante, le thème de Marguerite au rouet des Sept compositions pour le Faust de Goethe écrites quelques mois auparavant.
Composée la même année que la Sonate n°1 WWV21 (1831), l’oeuvre ne fut éditée pour la première fois que bien des années plus tard, en 1905, par la maison Kahnt de Leipzig.
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Pour découvrir la Fantaisie pour piano en fa dièse mineur, WWV 22 :