Naissance :

12 mars 1888

 

Mort :

25 octobre 1965

Chef d’orchestre

Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

Hans KNAPPERTSBUSCH

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Après des études de musique et de philosophie, le jeune Hans Knappertsbusch (surnommé « Kna ») débute comme Kapellmeister (maître de chapelle) au théâtre de Mülheim en 1910, avant de devenir assistant de Siegfried Wagner à Bayreuth.

Sa connaissance de l’œuvre de Wagner et plus généralement du répertoire germanique le font rapidement gravir les échelons du monde orchestral germano-autrichien dans la période de l’entre-deux guerres. En 1927, il enregistrerait déjà son tout premier Parsifal à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Munich. Admirable beethovénien, il dirige déjà les symphonies du Maître comme nul autre. Fidèle à ses convictions, le chef d’orchestre ne se soumettra jamais au régime hitlérien, lui interdisant ainsi les portes du Festival de Bayreuth. Il faudra la « dénazification » et l’avènement d’un nouvel âge, celui du « Nouveau Bayreuth » pour que s’ouvre à lui les portes du Saint des Saints. C’est lui qui sera en charge de diriger le Parsifal d’ouverture de ce même « Nouveau Bayreuth », en 1951, avec la complicité de Wieland Wagner qui l’estimait de par ses prises de positions pendant la guerre, et qui en dirige la mise en scène. Une interprétation légendaire qui fait toujours aujourd’hui encore autorité dans le monde de la critique musicale. Avec cette « marque de fabrique » (des tempi souvent très lents, empreints d’une grande religiosité) qui lui était propre. Il imposera ensuite à Bayreuth sa vision très personnelle de l’œuvre de Wagner au Vaisseau fantôme, aux Maîtres Chanteurs, puis surtout à La Tétralogie en 1958, souvent considérée comme une référence. Grâce à son charisme, mais également à sa très grande sensibilité, il réintroduit la transparence dans l’œuvre de Wagner, rendant celle-ci accessible à un plus grand nombre d’auditeurs. Avec sa disparition en 1965 à Munich, c’est non seulement le « Nouveau Bayreuth » qui perdait l’un de ses piliers fondateurs, mais également le monde wagnérien qui pleurait la mort de l’un de ses pères.

Il a dirigé à Bayreuth :
Parsifal (1951, 1952, 1954, 1955, 1956, 1957, 1958, 1959, 1960, 1961, 1962, 1963, 1964), La Tétralogie (1951, 1956, 1957, 1958), Les Maîtres Chanteurs (1951, 1960), Le Vaisseau Fantôme (1955, 1956)

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François WILLE
par Stéphanie BARUT

Journaliste politique, érudit (docteur ès lettres), il fut élu au parlement de Francfort en 1848 comme démocrate. Mais il dut s’exiler en Suisse et acheta alors le domaine de Mariafeld à Feldmeilen, où Wagner trouva refuge en 1864.

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Naissance :

12 mars 1888

 

Mort :

25 octobre 1965

Chef d’orchestre

Sommaire
Quand un chien grognait aux mauvaises notes !

Richard Wagner, célèbre compositeur allemand, avait une relation très particulière avec les animaux. Il aimait tellement son chien, un Terre-Neuve nommé “Robber”, qu’il composait souvent avec le chien allongé à ses pieds. On raconte même que lorsque Wagner jouait du piano, son chien grognait s’il jouait une mauvaise note, comme s’il était son critique musical personnel !

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