Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

LA DÉFENSE D’AIMER OU LA NOVICE DE PALERME Das Liebesverbot oder Die Novizie von Palermo) WWV38 : POUR ALLER PLUS LOIN

[image_categorie_parente]

Pour aller plus loin…

La Défense d’Aimer (Das Liebesverbot) ou la Novice de Palerme (Die Novizie von Palermo) est tout droit inspirée du désir inspiré au compositeur par la jeune actrice Minna Planer, sa future épouse, qu’il rencontre ce même été 1834. C’est également une pièce dans laquelle le compositeur exprime toute sa haine du puritanisme hypocrite. Wagner attend par ailleurs de cette œuvre les fonds nécessaires pour renflouer sa situation personnelle.

Lors de la création (29 mars 1836) donnée par Wagner en représentation extraordinaire pour la clôture de la saison de la troupe du Théâtre de Magdebourg, le titre sera changé en La Novice de Palerme car le titre – par trop provocateur – effraie le bourgmestre.

Wagner écrit lui-même au sujet de cette œuvre : « Cette musique n’était que le reflet des influences de la musique française moderne et (pour la mélodie) de l’opéra italien, sur ma sensualité surexcitée. » La Défense d’aimer marque une régression dans l’œuvre du compositeur vers le style d’opéra italo-français (on peut en juger dès les premières mesures de l’Ouverture de celle-ci, seul extrait de l’opéra encore parfois – mais rarement – donnée en concert). Wagner appelait d’ailleurs son opéra “l’œuvre de jeunesse frivole” (Mein Leben).

NC.

Cet article est protégé

En savoir plus Cet article est protégé par les droits d’auteur. Toute copie ou reproduction est strictement interdite.
LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
MATHILDE ET COSIMA A TRAVERS LES JOURNAUX INTIMES DE RICHARD WAGNER

par Nicolas CRAPANNE et Marie-Bernadette FANTIN-EPSTEIN Introduction La communication qui suit a pour objet de tenter de définir le rapport qu’entretint Richard Wagner avec les deux femmes qui auront, chacune à sa manière, le plus touché la fibre sentimentale du compositeur : Mathilde et Cosima. Par leurs personnalités, mais également… (Lire la suite)

L’ANNEAU DU NIBELUNG ou LA TÉTRALOGIE (Der Ring des Nibelungen), WWV86 : Erda, analyse psychologique et vocale du rôle

ERDA (contralto) Déesse primitive de la terre nourricière (son nom lui-même provient de die Erde – « la terre »), dont elle est l’oracle, ancêtre des dieux (elle est d’ailleurs également appelée Ur-Wala – de Ur : « qui est à l’origine de »), mère des Nornes et des Walkyries,… (Lire la suite)

Sommaire
Quels opéras de jeunesse de Wagner n’ont jamais été représentés au Festspielhaus de Bayreuth ?

Réponse : Les Fées, La Défense d’aimer et Rienzi. Wagner lui-même avait décidé que ces œuvres de jeunesse ne devaient pas faire partie du programme du Festspielhaus. Cependant, à l'occasion de l'année Wagner 2013, ces trois opéras ont été joués à Bayreuth en coproduction avec l'Opéra de Leipzig, non pas au Festspielhaus, mais à l’Oberfrankenhalle.

LIENS UTILES
Pas de liens utiles
TAGS

Appeller le musée

16, Boulevard Saint-Germain 75005 Paris - France

Français / English / Deutsch