Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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UNE VIE

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DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

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UNE OEUVRE

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L’AVENTURE DE BAYREUTH

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ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

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Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

LA SARRAZINE (Die Sarazenin), WWV66

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Opéra en cinq actes

Personnages :
Fatima, soprano
Manfred, ténor
Lancia, basse
Nurredin, ténor
Burello, basse
Ali, basse
Nobles et guerriers sarrazins (choeurs)

LA SARRAZINE, WWV66 : le livret
Lien vers le livret de LA SARRAZINE (à venir)

 

 

Voir également :
– logo_cercle rw « Les projets inaboutis d’opéras historiques de Richard Wagner » (PB)
Pour ce sujet la principale source d’inspiration fut l’histoire des Hohenstaufen. La première ébauche d’un opéra sur cette dynastie date du premier séjour parisien, à l’époque où Wagner se tournait avec nostalgie vers l’histoire allemande. Samuel Lehrs lui avait mis entre les mains le livre de Friedrich von Räumer, Histoire des Hohenstaufen et de leur temps. Richard lut cet ouvrage avec grand intérêt. Ce n’était toutefois pas tant pour se faire une idée précise de ce qu’était cette patrie allemande qu’il aspirait à retrouver après ces années d’exil que pour y chercher un sujet d’opéra. En effet, ce n’était pas en vertu d’une théorie esthétique qu’il avait composé Le Hollandais Volant. Le hasard l’avait mis en présence d’un sujet légendaire qui s’était emparé de son imagination de poète. Il ne voyait donc aucune raison a priori pour supposer que des lectures historiques ne pourraient lui révéler un sujet tout aussi favorable. Le personnage de Frédéric II le fascina. (lire la suite…) PB

 

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Sommaire
Quand un chien grognait aux mauvaises notes !

Richard Wagner, célèbre compositeur allemand, avait une relation très particulière avec les animaux. Il aimait tellement son chien, un Terre-Neuve nommé “Robber”, qu’il composait souvent avec le chien allongé à ses pieds. On raconte même que lorsque Wagner jouait du piano, son chien grognait s’il jouait une mauvaise note, comme s’il était son critique musical personnel !

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