Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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 WAGNER APRÈS WAGNER

LES FEES (Die Feen), WWV32 : POUR ALLER PLUS LOIN

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Les Fées, premier opéra intégralement composé et terminé de la main de Wagner ne seront jamais représentées sur scène du vivant du compositeur, malgré une tentative de représentation qui avait été prévue à Leipzig en 1834. La première n’aura en effet lieu à titre posthume que le 29 juin 1888 à Munich, sous la direction du chef d’orchestre Franz Fischer.

Musicalement, l’œuvre est très influencée par l’écriture vocale et orchestrale de Weber et de Marschner. Concernant le livret et pour la première fois dans l’œuvre de Wagner sont réunis les thèmes qui sont récurrents dans l’œuvre poétique et dramatique de ce dernier : la conflit entre un monde surnaturel (celui des fées) et le monde des hommes, la délivrance et la rédemption par l’amour.
Wagner s’était auparavant essayé à la composition en tentant de mettre en musique un livret de son ami Heinrich Laube qui relatait un épisode de la vie de Kosciusko, sur les thèmes d’indépendance et d’insurrection chers au compositeur. Mais ce projet est avorté, car Wagner se heurte à la difficulté d’écrire de la musique – comme cela se faisait à l’époque – en « numéros » se succédant les uns aux autres, et a fortiori sur un texte qui n’est pas de lui-même.
En désaccord avec les théories déjà bien présentes dans l’esprit de Wagner sur l’Art Total, Wagner écrit le livret et compose la musique des Fées, œuvre dans laquelle apparaît déjà le thème de l’amour rédempteur. Malgré une musique assez conventionnelle, il existe dans Les Fées quelques pages qui laissent préfigurer du génie novateur de Wagner.

NC.

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Qui Wieland Wagner a-t-il surnommé « trompette pour enfants » („Kindertrompete”) après une audition en raison de sa voix particulièrement claire et élevée ?

Réponse : Anja Silja. À partir de 1960, elle chanta dans presque toutes les mises en scène de Wieland Wagner, non seulement à Bayreuth, mais aussi au niveau international. Leur étroite collaboration artistique (et leur relation amoureuse) s'est poursuivie jusqu'à la mort de Wieland Wagner (1966). Après cela, Anja Silja ne s'est plus jamais produite à Bayreuth.

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