Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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LES MAITRES CHANTEURS DE NUREMBERG (Die Meistersinger von Nürnberg), WWV96 : LES ARTICLES THÉMATIQUES

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ECRITS AUTOBIOGRAPHIQUES DE RICHARD WAGNER SUR LA COMPOSITION ET LES CREATION DES MAÎTRES CHANTEURS DE NUREMBERG
Extrait de Mein LebenMa Vie de Richard Wagner (1835) – En 1835, dans une auberge de Nuremberg, où l’a conduit son beau-frère Wolfram, Richard Wagner fait la connaissance du menuisier Lauermann qui fait rire la compagnie en se prenant pour un grand chanteur. Pour amener le personnage à montrer ses talents, Wolfram fait passer Wagner pour la célèbre basse italienne Lablache. Le résultat ne se fait alors pas attendre : « Un combat étrange se livra chez le menuisier entre son incrédulité et sa vanité », et, au bout de deux heures… on réussit à obtenir de cet homme qu’il chantât.  (lire la suite…)

–  logo_cercle  LES REFERENCES AUX ECRITURES SACREES DANS LES MAÎTRES CHANTEURS DE NUREMBERG
Parmi les drames lyriques que Richard Wagner nous a laissés en dépôt, Les Maîtres Chanteurs de Nurembergoccupent une place très particulière. C’est la seule véritable “comédie”, si l’on excepte La Défense d’aimer, œuvre de jeunesse que l’on n’a guère l’habitude de représenter. C’est donc la seule œuvre où la mort et la souffrance ne jouent pas vraiment un rôle fondamental. Mais, comédie ne signifie pas simple divertissement, au contraire ! Au fil de cet ouvrage, le spectateur est, comme toujours, incité à une réflexion profonde. (lire la suite…) BR

–  logo_cercle  DES PREMIERES ESQUISSES AU TEXTE DEFINITIF DE LA PARTITION : LES AVATARS DU LIVRET DES MAÎTRES CHANTEURS DE NUREMBERG
C’est en juillet 1845, au cours de ce fameux séjour à Marienbad où il conçut également son Lohengrin, que Wagner écrivit un premier plan scénique des Maîtres Chanteurs. Il avait lu L’Histoire de la littérature allemande de Gervinius  et avait pris un grand intérêt pour le personnage de Hans Sachs. À l’époque, il pensait suivre le conseil de ses amis qui souhaitaient le voir écrire un opéra léger et  gai qui pourrait lui apporter le succès.  (lire la suite…) PB

Sur les représentations

LA PREMIERE DES MAÎTRES CHANTEURS DE NUREMBERG VUE PAR LES FRANCAIS (21 JUIN 1868) : RECIT DE VICTORIEN JONCIERES
Die Meistersinger von Nüremberg connut sa première munichoise le 21 juin 1868, un événement dont des critiques musicaux français furent les témoins.Dans son Etude sur les  Maîtres chanteurs de Nuremberg de Richard Wagner (Paris, Fischbacher, 1899)*, Julien Tiersot (1857-1936) consacre un chapitre aux recensions françaises des journalistes français de l’époque. Voici l’extrait qui reprend les propos de Victorin de Joncières (1839-1903) , par ailleurs illustrateur et lui-même compositeur : « Il est rare, quand un Français s’en va en Allemagne pour entendre du Wagner, s’il n’essaie au retour de répandre la bonne parole, et, plus particulièrement, ne cherche à faire part aux populations de ses émotions esthétiques par l’intermédiaire de quelque gazette. » (lire la suite…) LR

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Feuille d’album pour Mme B. Schott en mi bém M. WWV 108

Feuille d’album (pour Madame Betty Schott) pour piano en mi bémol majeur, WWV 108 Albumblatt für Frau Betty Schott, WWV 108 Dédiée à une autre grande admiratrice de son entourage, Madame Betty Schott, l’épouse de son éditeur, cette “Feuille d’Album” fait partie, avec les pièces WWV 94 et 95 dédiées… (Lire la suite)

LOHENGRIN, WWV75 : PARTITIONS

Partition d’orchestre complète Maison d’édition Leipzig: Breitkopf und Härtel, n.d.[1887]. Plate 15451. Réimpression New York: E.F. Kalmus, n.d.(1933-70). Droits d’auteur Public Domain Notes diverses These files are part of the Orchestra Parts Project. Pour télécharger la partition extraite du site imslp.org, cliquez ici.

(Lire la suite)
Sommaire
Qui a mis en scène « Parsifal » le 30 juillet 1951 à l’occasion de la réopuverture du Festival de Bayreuth ?

Réponse : Wieland Wagner, qui ouvrit ainsi la voie à une nouvelle esthétique, avec un « dépouillement » radical de l’espace scénique et des productions non conventionnelles.

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