Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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 WAGNER APRÈS WAGNER

L’OR DU RHIN (Das Rheingold), WWV86A : LES ARTICLES THÉMATIQUES

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Sur les origines de l’oeuvre

 L’OR DU RHIN, LA GENÈSE D’UN MONDE
Écrit autobiographique de Richard Wagner sur l’inspiration du prélude de L’Or du Rhin à La Spezia (septembre 1853). Durant les années 1850, au cours de son séjour à Zurich, Richard Wagner – alors exilé d’Allemagne – déborda d’une énergie créatrice concentrée sur l’écriture, la poésie, la versification, les ébauches de ses futurs drames musicaux, la rédaction de plusieurs  essais, allant même jusqu’à s’essayer à la philosophie.  (lire la suite…) NC

Sur les représentations : la création de L’Or du Rhin à Munich (1869)

LE RÉCIT DE LA CRÉATION DE « L’OR DU RHIN » AU THÉÂTRE ROYAL DE LA COUR DE MUNICH (1869), RAPPORTÉ PAR JUDITH GAUTIER extrait de Judith GAUTIER, Le troisième rang du collier (1909)
« Il fait encore jour quand, le vendredi 27 août (1869), nous entrons au théâtre. Une foule de curieux est massée devant le péristyle et sur la place de la Résidence. On sait, pourtant, que les appartements du palais communiquent directement avec la loge royale et que l’on ne verra pas Louis II passer, quand il entrera au théâtre. C’est donc l’irrésistible attrait du mur, derrière lequel il se passe quelque chose, qui retient là ces badauds. La salle est brillamment éclairée, vide cependant ; les quelques centaines de personnes que le roi a bien voulu inviter s’y éparpillent et sont presque invisibles. Les baignoires et plusieurs rangs de fauteuils d’orchestre sont seuls occupés ; la « galerie noble » et les loges, au milieu desquelles la loge royale, en face de la scène, prend une si grande place, sont interdites. (lire la suite…)

LA COMPOSITRICE AUGUSTA HOLMES COMMENTE L’OR DU RHIN DE 1869 par Luc ROGER (Munich&co)
Augusta Mary Anne Holmès, née Holmes le 16 décembre 1847 à Paris et morte le 28 janvier 1903 dans la même ville, fut une compositrice française d’origine britannique et irlandaise. En 1873, elle prit la nationalité française et ajouta un accent à son nom de famille. Demeurée célibataire, Augusta Holmès entretint une liaison, peut-être dès 1866, sûrement vers 1869, avec le poète Catulle Mendès, qui s’installa chez elle en 1878, avant de la quitter, ruinée, en 1886. Ils eurent ensemble eurent cinq enfants.  Fervente wagnérienne, elle assista à la générale du premier Or du Rhin, assise aux côtés de Franz Liszt. (lire la suite…)

– « L’OR DU RHIN DE 1869 A MUNICH, LES MEDISANCES DE LA GAZETTE DE FRANCE » par Luc ROGER (Munich&co)
En septembre 1869, La Gazette de France n’avait vraisemblablement pas de correspondant à Munich pour couvrir la première de L’Or du Rhin. Ce journal ne produit que deux articles sur le sujet, le premier le 11 septembre 1869 (p.2), emprunté à La Presse,  et le second le 19 septembre 1869 ( p. 1). Article du 11 septembre: « Il y a grande émotion à Munich, où le nouvel opéra de Wagner, Rheingold, n’a pu être représenté au jour fixé. » (lire la suite…)

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LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
DE LA TRANSCRIPTION …. suivi de LE CHANT DES WÄLSUNGEN
par Cyril PLANTE

De la transcription J’essaye toujours le plus possible d’atteindre l’essence, la vérité de la sonorité wagnérienne et la fascination du message philosophique. » (Stefan Mickisch) Le monde pianistique méprise un peu la transcription, n’estimant que les pièces virtuoses qui permettent à l’interprète de prouver sa résistance physique mais il néglige… (Lire la suite)

Sonate pour l’album de Madame M.W. (Mathilde Wesendonck) pour piano en la bémol Majeur, WWV 85

Briguant le style convenu de la sonate classique en trois mouvements, Wagner s’exprime dans cette oeuvre intime composée pour la délicieuse Mathilde Wesendonck dans une oeuvre courte (d’une dizaine de minutes environ) et composée d’un seul mouvement. Probablement l’une des meilleures compositions de Wagner pour le piano, cette pièce intervient… (Lire la suite)

Sommaire
Comment s’appelle le cheval de Brünnhilde : Brangäne, Brange ou Grane ?

Réponse : Grane. Dans le prélude du Crépuscule des dieux, Brünnhilde reçoit l'anneau d'Alberich en guise d'adieu à Siegfried, après quoi elle confie son cheval Grane à Siegfried. Brangäne est un personnage de Tristan et Isolde ; quant à Brange, c’était le nom d’un chien de Wagner.

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