Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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RIENZI OU LE DERNIER DES TRIBUNS, WWV49 : LES ARTICLES THÉMATIQUES

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LES ARTICLES THEMATIQUES

Sur l’oeuvre

RIENZI, UN COUP D’ESSAI DE WAGNER OU UN CHEF-D’OEUVRE DE MEYERBEER ?
Durant ses postes de chef des chœurs ou de Kappelmeister à Magdebourg, puis à Riga (dans les années 1830), le chef d’orchestre qu’est Wagner est imprégné par la musique (ou devrait-on plutôt dire « les musiques ») qu’il dirige tous les soirs à l’Opéra. Des œuvres de ses contemporains pour la plupart car on a alors relégué les œuvres baroques ou classiques du XVIIIème au second plan : le public veut de l’actuel et se montre particulièrement avide de nouveautés. Des œuvres de tous genres et nationalités. Ainsi, ce sera un soir Rossini ou Bellini, le lendemain, Auber ou Halévy, un autre jour soir encore, Beethoven ou Weber. Plus rarement, Gluck ou Mozart. Ce qui fait du jeune Wagner le premier « musicien européen ». A cette époque,  le compositeur qui a déjà sa propre idée de « la musique de l’avenir » est constamment tourné vers le futur, vers ce qui devra émerger de nouveau devant ses prédécesseurs, sortes de « brouillons » (sans connotation péjorative) d’un art musico-théâtral qui devra perdurer (lire la suite….) NC

Rienzi et ses contemporains

RIENZI, WWV49 : LA CRITIQUE DE THEOPHILE GAUTIER à l’occasion de la création de l’oeuvre à Paris (Journal Officiel, 12 avril 1869)
Rarement la curiosité parisienne avait été plus vivement surexcitée que par les simples mots inscrits sur l′affiche du Théâtre-Lyrique : « Mardi, première représentation de Rienzi, opéra en cinq actes, de Richard Wagner. » Dans un temps où certes la préoccupation n′est pas aux œuvres d′art, Wagner a le don de passionner la foule, de provoquer des enthousiasmes frénétiques et des répulsions violentes. Son nom prononcé assemble les nuages dans le ciel le plus serein. L′orage se forme aussitôt ; les éclairs se dégagent en lueurs palpitantes, le tonnerre gronde, la foudre éclate à travers la pluie, le vent et la grêle. (lire la suite…)

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LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
L’ORCHESTRE LAMOUREUX ET L’OEUVRE DE RICHARD WAGNER À PARIS
par Nicolas CRAPANNE

La naissance de la Société des Nouveaux Concerts Au lendemain de la défaite de Sedan (1870), la vie musicale parisienne connaît un élan nationaliste. De leur côté, Camille Saint-Saëns et Romain Bussine (25 février 1871) créent la Société Nationale de Musique, dont la devise, Ars Gallica, souligne la volonté de… (Lire la suite)

Année 1882

13 janvier 1882 Richard Wagner achève l’orchestration de Parsifal. Cosima écrit dans son Journal : “Nous portons un toast à Parsifal !” C’est l’anniversaire de Joukowski : une petite réception est donnée en l’honneur de l’artiste et ami du couple Wagner (on joue le chœur des Fées, puis la Ballade… (Lire la suite)

Sommaire
Qui Wieland Wagner a-t-il surnommé « trompette pour enfants » („Kindertrompete”) après une audition en raison de sa voix particulièrement claire et élevée ?

Réponse : Anja Silja. À partir de 1960, elle chanta dans presque toutes les mises en scène de Wieland Wagner, non seulement à Bayreuth, mais aussi au niveau international. Leur étroite collaboration artistique (et leur relation amoureuse) s'est poursuivie jusqu'à la mort de Wieland Wagner (1966). Après cela, Anja Silja ne s'est plus jamais produite à Bayreuth.

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