Mvrw Tristan Et Isolde
Genre :

Opéras et drames musicaux.

Titre original :

Tristan und Isolde, WWV90

Drame musical en trois actes,
Livret et musique de Richard Wagner
Créé le 10 juin 1865 au Hoftheater de Munich

Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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TRISTAN ET ISOLDE (WWV 90)

Drame musical en trois actes,
Livret et musique de Richard Wagner

Créé le 10 juin 1865 au Hoftheater de Munich

Distribution :
TRISTAN, chevalier de Cornouailles, neveu du Roi Marke (ténor)
ISOLDE, princesse irlandaise (soprano)
MARKE, roi de Cornouailles (basse)
KURWENAL, écuyer de Tristan (baryton)
BRANGÄNE, suivante d’Isolde (mezzo-soprano)
MELOT, un courtisan (ténor)
Matelots, chevaliers et écuyers (choeur)

Lieux de l’action :
Premier acte : en mer, sur le navire de Tristan pendant la traversée d’Irlande en Cornouailles
Deuxième acte : dans le bourg de Marke, en Cornouailles
Troisième acte : le burg de Tristan à Karéol

Composition de l’orchestre :
piccolo, 3 flûtes, 2 hautbois, cor anglais, 2 clarinettes, clarinette basse,
3 bassons, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba basse, timbales, triangle, cymbales, harpe, cordes.
Musique de scène :
3 trompettes, 3 trombones, 6 cors, cor anglais

Durée approximative : de 3h40 à 4h30 (selon les directions d’orchestre)

 

Sources littéraires, contexte de la composition du poème et de la musique, création

Septième opéra de Richard Wagner, Tristan et Isolde (WWV 90) est le quatrième de la période dite de maturité du compositeur et le premier créé sous le patronage du roi Louis II de Bavière.

Il s’agit également du seul ouvrage résultant d’une commande dans la carrière du compositeur : le 9 mars 1857, Wagner reçoit la visite du Dr. Enesto Ferreiro-França, émissaire de l’Empereur Dom Pedro II du Brésil qui demande à ce dernier de lui composer “ un opéra dans le style italien ” afin de faire représenter celui-ci à Rio de Janeiro. Séduit par cette commande et attiré, comme toujours à travers ses œuvres, par le projet de magnifier sur scène la puissance de l’amour, Wagner abandonne provisoirement la composition de La Tétralogie (il en est alors à la composition de l’acte II de Siegfried) ainsi que son projet des Maîtres chanteurs de Nuremberg dont il a déjà tissé la trame principale.

Le livret de ce « drame musical » en trois actes s’inspire d’une légende traditionnelle celtique datant du XIIe siècle. Wagner a plongé dans les nombreuses sources la relatant : les deux versions de Gottfried von Strassburg (1205-1210), les continuations de Ulrich von Türheim (1235) et de Heinrich von Freiberg (1280), Sir Tristem en moyen-anglais d’après Thomas von Erceldoune, le Tristan de Béroul (1180), le Lai du chèvrefeuille de Marie de France… Toutefois, il ne forme le véritable projet d’un Tristan qu’en 1854, à la faveur essentiellement de trois éléments déclencheurs : la lecture du Monde comme volonté et comme représentation de Schopenhauer, la rencontre de Mathilde Wesendonck, enfin la compétition initiée par l’ami Karl Ritter, qui songeait lui aussi à écrire un drame sur Tristan.

Sur l’aspect philosophique, Wagner retient de la pensée de Schopenhauer, axée sur une vision pessimiste de la condition humaine, la souffrance de l’homme tiraillé entre le désir de mort et l’amour.  Mais pour le philosophe, l’homme doit tuer cette volonté en lui par l’ascèse (à la manière des bouddhistes) et la négation. Wagner, lui, réinterprète cette pensée et montre une fusion enfin atteinte dans la mort entre les deux amants, sous le voile bienfaisant de la nuit qui tient un rôle central dans l’opéra.

L’autre source majeure d’inspiration pour Richard Wagner fut sa rencontre avec Mathilde Wesendonck, sa muse (par ailleurs poète et épouse du riche commerçant Otto Wesendonck), avec laquelle le compositeur aurait eu une idylle. Lorsque, exilé de Saxe et plus généralement des Etats allemands pour avoir participé à l’insurrection de Dresde en 1849 Wagner trouva refuge à Zurich où il y passa neuf années, il fit la connaissance du couple Wesendonck, en 1852. Otto, grand admirateur de Wagner, devint un de ses principaux mécènes et lui proposa une maison sur sa propriété que le compositeur surnomma aussitôt « l’Asile». Wagner s’éprit rapidement de Mathilde. Cet amour impossible fut directement à la source du drame vécus par les protagonistes que sont Tristan et Isolde, autrement dit Richard Wagner et Mathilde Wesendonck. Du reste, les motifs musicaux de deux des Wesendonck-Lieder, le cycle de cinq mélodies composées par Richard Wagner sur des textes de Mathilde WesendonckTräume (Rêves) et Im Treibhaus (Dans la serre) furent repris dans le drame musical.

Lorsque Tristan et Isolde  fut achevé en septembre 1857, Wagner offrit le manuscrit à Mathilde Wesendonck. Mais son amour pour l’épouse de son généreux mécène, découvert par Minna, qui de son côté, alerta Otto. Le compositeur se vit contraint de quitter Zurich. Il achèvera Tristan et Isolde à Venise, au cours de l’automne 1858, l’atmosphère lugubre de la ville en cette saison et le chant plaintif des gondoliers lui inspirant la noirceur de la composition de la musique du troisième acte.

L’aventure de la création sur scène de l’oeuvre se déroula de manière sans aucun doute aussi pénible et douloureuse que la composition de celle-ci : persuadé que seul l’orchestre de l’opéra de Vienne était capable d’interpréter l’une des partitions les plus novatrices et audacieuses de son temps, Wagner prépara les répétitions de Tristan et Isolde à Vienne à partir de 1861. Nietzsche travailla d’ailleurs la réduction pour piano cette même année. Mais à la suite de la mort de Maxilimien II en 1864, la représentation de Tristan fut annulée.

Mais, comme tout changea dans la vie de Richard Wagner à compter de sa rencontre avec le roi Louis II de Bavière, le destin de l’opéra prit également une nouvelle tournure. Le roi exigea en effet que les meilleurs instrumentistes composent l’orchestre et les meilleurs chanteurs du moment furent requis pour exécuter la création qui eut finalement lieu le 10 juin 1865, en présence du compositeur et de son royal mécène (la première, prévue initialement le 15 mai avait été repoussée car Malvina Schnorr von Carolsfeld, créatrice du rôle d’Isolde, était aphone le soir de la première).

La critique fut plutôt sévère pour l’opéra : il fut qualifié « d’indécent » voire « d’obscène ». On loua en revanche l’interprétation des époux von Carolsfeld qui surent donner vie à ces personnages de légende et apportèrent « chair et sang » à la passion du couple mythique. Mais Ludwig Schnorr ne survécut pas longtemps à la première de Tristan. Une rumeur infondée de malédiction courut dès lors, et le bruit se propagea que l’artiste était décédé des suites des incroyables efforts consentis pour parvenir à créer le rôle « inchantable » de Tristan.

Pourtant, l’oeuvre fait date dans l’histoire du langage musical, notamment par son prélude, présentant les leitmotive qui seront développés tout au long du drame. Au tout début de l’ouvrage, un accord étrange, dissonant (que l’on surnomma par la suite l’accord de Tristan) semble ne pas répondre aux règles harmoniques habituelles. Ainsi en va-t-il de tout l’ouvrage qui pousse dans ses retranchements le cadre de la tonalité : avec Tristan et Isolde, Richard Wagner ouvre une nouvelle porte à l’expression musicale qui, par la suite, inspireront des compositeurs tels que Claude Debussy chez  les français, ou bien encore les compositeurs de l’Ecole de Vienne (Arnold Schoenberg, Anton Webern…) qui allèrent encore plus loin que les audaces initiées avec Tristan et Isolde et ouvrirent ainsi la voie au dodécaphonisme.

Faits antérieurs

Afin d’empêcher les tentatives d’affranchissement de la Cornouailles à la suzeraineté d’Irlande, le roi a envoyé une expédition militaire commandée par Morold. Celui-ci était promis à Isolde, qui, connaissant les arts de la magie, avait empoisonné sa lame avant son départ en expédition. Il fut cependant tué en duel par Tristan, neveu du roi de Cornouailles. Tristan, blessé et empoisonné, avait envoyé la tête de sa victime à Isolde en guise de tribut. Cette dernière était la seule disposant de l’antidote du poison. Afin d’être soigné, Tristan débarqua en tant que naufragé sous le nom de Tantris sur les rivages d’Irlande et fut recueilli par Isolde. Celle-ci découvrit un morceau de la lame de Morold dans sa plaie et connaissait ainsi la véritable identité du blessé. Alors qu’elle s’apprêtait à venger son amant en assassinant Tristan inconscient, celui-ci se réveilla. Son regard provoqua la pitié d’Isolde, qui lâcha son glaive, le soigna et le laissa repartir. La paix entre la Cornouailles et l’Irlande devait être ainsi marquée, quelques années plus tard, par le mariage d’Isolde et du vieux roi Marke. Tristan fut envoyé en ambassade pour chercher Isolde. Ils promirent d’oublier les événements passés en Irlande. Pourtant, Isolde n’était pas disposée à ce mariage arrangé : en plus d’être éprise de Tristan, elle ne pouvait pas concevoir le fait d’apporter en dot son pays à la Cornouailles, qui était autrefois vassal d’Irlande.

ACTE I :
Sur le pont d’un bateau conduit par Tristan entre l’Irlande et la Cornouaille.
Isolde est accablée de désespoir : elle souhaite que le navire coule plutôt que de l’emmener vers sa destination détestée. Sa compagne, Brangäne, essaie en vain de la calmer. Isolde éclate de colère sur Tristan qui l’évite. Elle envoie Brangäne convoquer Tristan. Celui-ci répond par des réponses courtoises mais évasives. Son compagnon, Kurwenal, cependant, dit à Brangäne que Tristan n’est pas un vassal pour répondre à l’appel d’Isolde et entonne un chant insolent sur le fiancé d’Isolde, Morold, que Tristan a tué au combat. Revenue bredouille près de sa maitresse, Brangäne apprend les raisons de sa fureur : la mort de son fiancé Morold, les soins prodigués à Tristan et son mariage avec un ancien vassal.  Brangäne essaie de lui dire que ce n’est pas un déshonneur d’épouser un roi et que Tristan fait simplement son devoir. Isolde répond que cela montre son manque d’amour pour elle. Brangäne rappelle à Isolde que sa mère l’a chargée de philtres magiques. Isolde, désemparée de devoir vivre en promiscuité avec l’homme aimé et d’être en même temps l’épouse du roi, décide de mourir avec Tristan en lui demandant de boire comme elle le philtre de mort. Mais Brangäne a échangé les potions et c’est le philtre d’amour qu’ils boivent. Pensant être devant la mort, Tristan et Isolde, libérés, s’avouent leur amour. Kurwenal er Brangäne ont juste le temps de les séparer avant l’accostage à Cornwall.

Acte II
Dans un jardin près du château de Marke

Les cors annoncent le départ du roi et de sa suite pour une partie de chasse. Impatiente, Isolde attend son rendez-vous avec Tristan. Brangäne la met en garde contre Melot, un chevalier jaloux. Isolde répond que Melot est l’ami de Tristan et demande à Brangäne d’éteindre le flambeau, signal convenu avec Tristan pour qu’il vienne. Les amants se rejoignent fougueusement. Ils saluent l’obscurité, qui bannit la lumière de la réalité quotidienne et les fausses apparences. Se sentant en sécurité dans la vérité de la nuit, ils s’abandonnent aux passions de l’amour. La voix lointaine de Brangäne avertit que la nuit va bientôt s’estomper et que le danger sera révélé, mais les amoureux ne l’entendent pas tout à leur extase. Kurwenal entre : le roi et ses partisans sont revenus, menés par Melot, qui dénonce les amants. Emu, Marke demande comment un chevalier qu’il aimait tant pouvait le déshonorer. Tristan dit qu’il ne peut pas répondre, puis se tourne vers Isolde et demande si elle le suivra dans le royaume de la mort. Elle accepte et Tristan se jette sur l’épée de Melot.

Acte III
A Karéolm, dans le château de Tristan.
Tristan, blessé, a été ramené à son château par Kurwenal. Celui-ci demande à ce que l’on cherche Isolde pour soigner son amant. À un berger qui s’enquiert de son maître, Kurwenal demande de changer sa mélodie triste dès qu’il voit un navire approcher. Tristan, en plein délire, se remémore son enfance et la mort de ses parents. Il s’accroche à la vie seulement pour qu’il puisse trouver Isolde et l’emmener avec lui. Il voit le navire d’Isolde approcher, mais la mer est vide. L’air du berger se change  en fanfare joyeuse, le bateau accoste. Tristan se réveille dans une agitation croissante. Pour une fois il bénit le jour, parce que cela illumine le chemin d’Isolde. Imprudemment, il arrache ses bandages, laissant ses plaies saigner pour qu’elle puisse les guérir – « pour toujours ». Sitôt qu’Isolde se précipite, il tombe mourant dans ses bras. Un autre navire arrive avec le roi Marcke et Melot. , que Kurwenal suppose apporter à Marke et à Melot, Kurwenal se jette sur Melot : ils meurent tous deux au combat. Marke est venu en vain pardonner et unir les amants. Isolde, inconscient, a une vision de Tristan faisant signe depuis le monde au-delà. Elle sombre, transfigurée dans la mort, sur le corps de Tristan.

Sources :
Opéra national du RhinDossier pédagogique Tristan. OnR, 2015.
GyndebourneProgramme 2007

Les articles thématiques

Sur la genèse de l’oeuvre

- TRISTAN ET ISOLDE EN DÉCORS NATURELS,
par Henri PERRIER
Compte tenu de la tendance immuable de Wagner au grandiose, pour ne pas dire à la démesure, Tristan et Isolde apparaît comme son œuvre la plus intimiste. Il est curieux de noter qu’il ait dénommé « Handlung » (action) ce drame qui est plutôt un immense poème musical. L’attention du spectateur, qui est avant tout un auditeur, se concentre sur les deux héros ; les autres personnages se trouvent réduits, malgré l’importance et la beauté musicale de leurs interventions, à jouer des rôles finalement secondaires. (lire la suite)

- DE LA LÉGENDE CELTIQUE AU DRAME DE RICHARD WAGNER
par Jean MATHIEU
L’histoire merveilleuse de Tristan et Yseut se perd dans la nuit des temps médiévaux mais on est impressionné de constater que l’aventure de ces deux amants arrive soudainement dans la conscience européenne et se manifeste subitement dans une littérature française qui, au Xllème siècle, est à sa naissance, pour se diffuser très vite dans tous les pays d’Europe. Si les origines de ce beau conte d’amour et de mort, pour reprendre la formule de Joseph Bédier, sont incertaines ou discutées, une chose est sûre: c’est dans le dernier tiers du Xllème siècle que va commencer la multiplication des textes qui font allusion à l’histoire des deux amants et en font le sujet principal de leur récit. (lire la suite...)

Sur la composition de l’oeuvre

- QU’EST-CE-QUE « L’ACCORD DE TRISTAN » ?
par Nicolas CRAPANNE
Sur un seul accord on aura tout (ou presque) dit et écrit, des analyses musicologiques les plus savantes aux « dérapages » les plus « fumeux ». A croire qu’en lui seul le premier accord de la partition (soit le premier « son » de la troisième mesure, situé dans le prélude) résume toute l’ambiguïté et la modernité de l’œuvre wagnérienne. Il est vrai pourtant qu’avec l’expression de la dissonance de cet accord, Wagner pousse les limites de la tonalité à leurs extrêmes, ouvrant par là la porte aux nouveaux langages musicaux qui seront utilisés par les compositeurs du tournant du siècle dernier, en particulier l’Ecole de Vienne. Arnold Schönberg considérait la musique de Tristan comme la source de la musique moderne. (lire la suite...)

Sur la postérité de l’oeuvre

- LA NAISSANCE DE TRISTAN, UNE PIECE OUBLIEE SUR RICHARD WAGNER DE GEORGES DELAQUYS
présentation par Luc Henri ROGER
La Naissance de Tristan, une pièce dramatique et musicale en trois parties et dix tableaux de M. Georges Delaquys, avec une musique de scène tirée de I’oeuvre de Richard Wagner, fut montée au Théâtre de Monte-Carlo à la fin de l’année 1936. Pierre Scize présenta la pièce dans un article publié en page 3 du journal Comoedia du 30 décembre 1936. Nous le retranscrivons ici. (lire la suite...)

Bibliographie indicative

Aux origines de la légende
- Le Roman de Tristan et Iseut, Paris, Henri Piazza éditeur d'art, 1900, illustré de compositions de Robert Engels : cet ouvrage a été traduit en allemand en 1901 et en anglais en 1903
- THOMAS, Le roman de Tristan : poème du XIIe siècle, 2 volumes, collection « Société des anciens textes français », Paris, Librairie de Firmin-Didot & Cie, 1902-1905
- René LOUIS, Tristan et Iseult, Le livre de poche, renouvelé en français moderne d'après les textes des XIIe et XIIIe siècle, 1972
- Joseph BEDIER, Le roman de Tristan et Iseut, édition 10/18,collection bibliothèque médiévale. Préface de Gaston, Paris
- BEROUL, Tristan et Iseut, Présentation, notes et traduction en français moderne de Philippe Walter. Dossier de Corina STANESCO (BAC 2001), Le livre de poche.
- BEROUL, Tristan et Yseut, Présentation et traduction de Daniel POIRION. Préface de Christiane MARCHELLO-NIZIA. Gallimard, collection folio classique (BAC 2001).

Analyse de l'oeuvre de Richard Wagner
- Albert LAVIGNAC,Analyse de Tristan et Isolde, deux chapitres extraits de Le Voyage artistique à Bayreuth, 1897
- Martine KAHANE et Nicole WILD, Wagner et la France, Paris, Bibliothèque Nationale / Théâtre nationale de l'Opéra de Paris, 1983, 175 p.
- Richard WAGNER,Tristan et Isolde(édition bilingue), traduit et présenté par André Miquel, préface de Pierre Boulez, Folio, Gallimard, 1996.
- Michel PAZDRO (dir.), Jean CABOURG, Christophe CAPACCI, Michel DEBROCQ, Pierre FLINOIS, Philippe GODEFROID, Stéphane GOLDET, François GRANDSIR, Piotr KAMINSKI, Lucie KAYAS, Fernand LECLERCQ, Alain POIRIER, Pascale SAINT-ANDRE, Dominique JAMEUX, Dennis COLLINS, Françoise FERLAN, Georges PUCHER et Dominique SILA, Guide des opéras de Wagner : Livrets — Analyses — Discographies, Fayard, coll. « Les indispensables de la musique », 1998, 910 p. (ISBN 9782213020761)
- Piotr KAMINSKI,Mille et un opéras, Fayard, coll. « Les indispensables de la musique », 2003, 1819 p. (ISBN 978-2-2136-0017-8, OCLC 417460276, notice BnF no FRBNF39099667), p. 1701–1707
- Jean-Jacques HOFFELE,Dialogue sur la musique et le théâtre: Tristan et Isolde par Patrice Chéreau et Daniel Barenboim, Buchet-Chastel 2010.
- Claire BADIOU, « Tristan et Isolde », dans Timothée Picard (dir.), Dictionnaire encyclopédique Wagner, Arles, Actes Sud / Cité de la musique, 2010, 2494 p. (ISBN 978-2742778430, OCLC 890639437), p. 2130–2139.
- L'Avant-Scène Opéra, no 34-35 , 2011 : livret bilingue allemand-français, analyses critiques et musicales, interviews
- Serge GUT, Tristan et Isolde, Fayard, Paris 2014.

(avec l’accord du site internet www.imslp.org)

accès à l’intégrale de la partition chant/orchestre en cliquant sur le lien suivant :
http://hz.imslp.info/files/imglnks/usimg/7/77/IMSLP66167-PMLP03546-Wagner-WWV090.pdf

Éditeur First edition (reprint)
Informations sur la maison d'édition Leipzig: Breitkopf und Härtel, n.d.[1860]. Plate 10000.
Réimpression New York: E.F. Kalmus, n.d.(1933-70).
Droits d'auteur

accès à l’intégrale de la partition chant/piano en cliquant sur le lien suivant :
http://hz.imslp.info/files/imglnks/usimg/7/77/IMSLP66167-PMLP03546-Wagner-WWV090.pdf

Arrangeur Hans von Bülow (1830-1894), piano reduction
Langue German
Informations sur la maison d'édition Leipzig: Breitkopf und Härtel, n.d. Plate V.A. 31.
Droits d'auteur

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Mvrw Tristan Et Isolde
Genre :

Opéras et drames musicaux.

Titre original :

Tristan und Isolde, WWV90

Drame musical en trois actes,
Livret et musique de Richard Wagner
Créé le 10 juin 1865 au Hoftheater de Munich

Sommaire
Quels opéras de jeunesse de Wagner n’ont jamais été représentés au Festspielhaus de Bayreuth ?
Réponse :

Les Fées, La Défense d’aimer et Rienzi. Wagner lui-même avait décidé que ces œuvres de jeunesse ne devaient pas faire partie du programme du Festspielhaus. Cependant, à l'occasion de l'année Wagner 2013, ces trois opéras ont été joués à Bayreuth en coproduction avec l'Opéra de Leipzig, non pas au Festspielhaus, mais à l’Oberfrankenhalle.

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