Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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 WAGNER APRÈS WAGNER

Année 1836

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Janvier 1836

Richard Wagner achève la composition de la partition de La Défense d’aimer.

La Défense d’aimer ou La Novice de Palerme (Das Liebesverbot) WWV38 créé le 29 mars 1836 à Magdebourg sous la direction du compositeur.

29 mars 1836

Première de La Défense d’aimer (Das Liebesverbot), WWV38 à Magdebourg, sous la direction du compositeur.
La préparation de les représentations est catastrophique, les moyens financiers de la troupe de l’opéra de Magdebourg menaçant celle-ci de la faillite d’un moment à l’autre.
Juste avant le lever de rideau de la deuxième représentation, donnée semble-t-il devant une assistance composée de trois spectateurs, une bagarre éclate parmi les artistes en coulisses et la troupe se disperse, ne permettant pas la représentation.

18 mai 1836

La troupe de l’Opéra de Magdebourg étant à présent dispersée, faute de financement, Richard Wagner décide de quitter la ville. Le compositeur emporte avec lui un souvenir particulièrement amer de cette expérience à la direction du théâtre de la ville.
Le compositeur entreprend son premier voyage à Berlin afin d’y mener des pourparlers en vue d’y faire représenter La Défense d’aimer, plus précisément sur la scène du Théâtre de Königstadt, une scène de la banlieue berlinoise. Cette tentative n’aura malheureusement jamais lieu.

Entre le 19 mai et le 6 juillet 1836

Richard Wagner compose l’Ouverture Polonia (WWV39), une partition enflammée à travers laquelle le compositeur exprime l’enthousiasme que, étudiant, il avait ressenti pour les combats d’indépendance menés par les Polonais contre l’occupant russe (Nicolas Ier) dans les années 1830 et 1831.  Les débris de la malheureuse armée polonaise traversent Leipzig après la bataille d’Ostrolenka. La maison de son beau-frère Brockhaus, l’éditeur, s’ouvre noblement aux infortunés Polonais, et cette sympathie fait éclore la nouvelle composition musicale dans l’esprit du jeune compositeur, l’Ouverture Polonia.

7 juillet 1836

Richard Wagner entreprend le voyage de Berlin à Königsberg ; on a fait comprendre au compositeur que le poste de Directeur musical de l’Opéra de Königsberg était alors vacant. Le premier contact de Wagner avec la ville de Königbserg n’est pas des plus favorables : “Dès l’abord, l’aspect extérieur de Königsberg me laissa une impression désolante” (Mein Leben).
NB:  Königsberg est depuis 1946 devenu Kaliningrad. Ancienne capitale et centre spirituel de la province la Prusse de 70.000 habitants, la ville commerçante de Königsberg avait été à la hauteur de son importance au 18ème siècle et elle comptait au 19ème siècle plus d’habitants que Cologne, Francfort ou Munich. En 1724 est né à Koenigsberg Emmanuel Kant, qui y a passé toute sa vie.

Pendant tout l’été 1836,

Le compositeur reste dans l’attente de la confirmation de son emploi au Théâtre de Königsberg.

Durant l’automne 1836,

Richard Wagner esquisse le scénario en prose d’un grand opéra Die hohe Braut (La Fiancée idéale), d’après le roman de Heinrich König. Ce drame ne sera jamais porté en musique, il porte néanmoins le numéro 40 dans le catalogue WWV.

1er octobre 1836

Richard Wagner retourne à Königsberg où s’est déjà établie Minna. Le couple Wagner emménage ensemble à Königsberg.

24 novembre 1836

A onze heures du matin, Richard Wagner épouse Christine Wilhelmine (Minna) Planer à l’église de Tragheim à Königsberg. La cérémonie est officiée par le pasteur Johann Friedrich Hapsel.

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Quand un chien grognait aux mauvaises notes !

Richard Wagner, célèbre compositeur allemand, avait une relation très particulière avec les animaux. Il aimait tellement son chien, un Terre-Neuve nommé “Robber”, qu’il composait souvent avec le chien allongé à ses pieds. On raconte même que lorsque Wagner jouait du piano, son chien grognait s’il jouait une mauvaise note, comme s’il était son critique musical personnel !

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