Mvrw Dresden Kreuzschule 650
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Scroll Left 1 Svgrepo Com

Année 1822

par Nicolas CRAPANNE

Eté 1822

L'oncle de Richard, Adolf WAGNER (1774-1835)Richard Wagner passe quelques jours chez son oncle, Adolf Wagner, à Leipzig. Le jeune Richard est fasciné par cet homme, à la fois théologien, traducteur, homme de lettres se livrant à toutes sortes de recherches personnelles : Adolf Wagner prend de l’ascendant sur le jeune enfant et participe de façon notoire à l’éveil de celui-ci.
A l’issue de cet été-là, le jeune Richard rentre à Dresde.

A l’école, le jeune garçon ne montre aucun goût ni aucune aptitude particulière pour les mathématiques ou bien les langues mortes, en revanche il se montre doué pour la composition, la rédaction, la mythologie et l’Histoire.

2 décembre 1822

Richard Wagner (qui porte toujours le nom de Geyer) entre à la Kreuzschule de Dresde ; il y restera quatre années. Il est admis parmi les derniers mais devient pourtant rapidement l’un des premiers de sa classe.

Richard Wagner écrit à ce propos dans son Esquisse biographique : « J’avais onze ans à cette époque. Alors je voulus être poète ; j’esquissai des tragédies sur le modèle des Grecs, poussé par la connaissance des tragédies d’appel : Polydos, les Eoliens, etc. ; cela me fit passer à l’école pour un bon élève in litteris ; en troisième j’avais déjà traduit les douze premiers livres de l’Odyssée. J’appris aussi l’anglais, dans le seul but de pouvoir bien connaître Shakespeare ; je traduisis métriquement le monologue de Roméo. J’abandonnai bientôt l’anglais, mais Shakespeare resta mon prototype ; j’esquissai une grande tragédie, qui réunissait à peu près Hamlet et Le Roi Lear ; le plan était extraordinairement grandiose ; quarante-deux personnes mouraient dans le cours de la pièce, et je me vis dans la nécessité, au dénouement, d’en faire revenir sous forme de fantômes, car tous mes personnages étaient morts avant le dernier acte. Cette pièce m’occupa deux ans. »

Group 1077

Cet article est protégé

En savoir plus Cet article est protégé par les droits d’auteur. Toute copie ou reproduction est strictement interdite.
LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
Heins ZEDNIK
par Nicolas CRAPANNE

Heins Zednik fut ce qu’on appellerait au cinéma un immense second rôle. En effet, si généralement lors de la deuxième journée du Ring Siegfried attire tous les regards, les spectateurs de “La Tétralogie du Centenaire” du tandem Boulez/Chéreau furent conquis tant par les capacités vocales que par le jeu d’acteur… (Lire la suite)

Année 1819

Le philosophe allemand Arthur Schopenhauer fait paraître son œuvre majeure Le monde comme volonté et comme représentation.

(Lire la suite)
Mvrw Dresden Kreuzschule 650
Sommaire
« Achevé à Wahnfried le 21 novembre 1874. Je ne dis rien de plus !! R.W. » À quoi se réfèrent ces mots de Wagner ?
Réponse :

À l'achèvement du Crépuscule des dieux. Il s'agit de l'inscription finale sur la partition définitive du Crépuscule des dieux, laquelle constitue en fait la conclusion de vingt-six années de travail sur la partition du Ring.

Newsletter

Pour recevoir nos informations, inscrivez-vous à notre newsletter.

LIENS UTILES
Pas de liens utiles
TAGS
Partagez cette page avec vos amis !

Nous contacter

16, Boulevard Saint-Germain 75005 Paris - France

Français / English / Deutsch