Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

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UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

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UNE OEUVRE

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L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

Année 1838

Printemps 1838

Trop à l’étroit “ dans un logement exigu et inconfortable de la vieille ville ” (Mein Leben), les Wagner déménagent “ dans un faubourg bien aéré de Petersbourg.”
Richard Wagner prépare les représentations au Théâtre de Riga de Joseph d’Etienne Nicolas Méhul et de Norma de Vincenzo Bellini. “ Je fus transporté par l’étude de Joseph, opéra de Méhul ; ce style noble et simple, cette musique émouvante et captivante ne contribuèrent pas pour une faible part à un heureux redressement de mon goût, que la pratique du théâtre avait visiblement corrompu.” (Mein Leben)

Début de l’été 1838

Wagner découvre l’histoire du Vaisseau fantôme, que Heinrich Heine avait rapportée et publiée en 1830, sous forme d’une nouvelle dans Les Mémoires de Monsieur de Schnabelewopski.
A cette époque, le compositeur s’attaque également à la rédaction du livret de Rienzi.

5 août 1838

Wagner achève le livret de Rienzi, le dernier des Tribuns, d’après le roman d’Edward Bulwer-Lytton,  Cola Rienzi.

7 août 1838

Sitôt la première version du livret achevée, Richard Wagner entreprend la composition de la musique de Rienzi.

11 septembre 1838

Wagner adresse un appel aux membres de l’orchestre afin d’obtenir leur accord en vue d’un cycle de concerts au cours desquels le compositeur entend diriger un certain nombre d’œuvres symphoniques.
Ainsi sont donnés au cours d’un abonnement des concerts (du 15 novembre 1838 au 7 mai 1839) comprenant les troisième et huitième Symphonies de Ludwig van Beethoven, des œuvres de Mozart, Weber, Cherubini et Mendelssohn, ainsi que quelques-unes des propres compositions (ouvertures) de Wagner.
Par cette initiative, le compositeur s’attire l’inimitié du directeur du Théâtre, Karl von Holtei, qui, décidément, commence à trouver la présence de Wagner un peu trop embarrassante !

15 novembre 1838

Début du cycle de concerts symphoniques dirigés par Richard Wagner au Théâtre de Riga.

Durant l’automne 1838,

Richard Wagner compose une mélodie, Der Tannenbaum (Le Sapin), WWV50, sur un poème de Georg Scheurlin.

6 décembre 1838

Richard Wagner termine l’ébauche de l’orchestration du premier acte de Rienzi.

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PIERRE-LOUIS DIETSCH : DEUX RENCONTRES AVEC RICHARD WAGNER

Dijon n’a apparemment jamais tenu une place de choix dans l’histoire musicale. Non qu’on n’y ait point fait autant de musique qu’ailleurs : depuis la riche Cour des Ducs de Bourgogne jusqu’au foisonnement actuel des chorales, orchestres, opéras et autres musibus, on n’a cessé d’y faire de la musique, et… (Lire la suite)

LA CRITIQUE DE THEOPHILE GAUTIER à l’occasion de la création de l’oeuvre à Paris (Journal Officiel, 12 avril 1869) (Rienzi ou le dernier des Tribuns, WWV 49)
par Théophile GAUTIER

Rarement la curiosité parisienne avait été plus vivement surexcitée que par les simples mots inscrits sur l′affiche du Théâtre-Lyrique : « Mardi, première représentation de Rienzi, opéra en cinq actes, de Richard Wagner. » Dans un temps où certes la préoccupation n′est pas aux œuvres d′art, Wagner a le don… (Lire la suite)

Sommaire
Quel compositeur aurait dit de Wagner : « Pour moi, Wagner est impossible ; c’est certes un homme d’esprit, mais il parle à n’en plus finir. On ne peut pas discuter avec lui ».

Réponse : Robert Schumann. Wagner, quant à lui, raconte : « Nous sommes en bons termes en apparence ; mais on ne peut pas fréquenter Schumann... Peu après mon arrivée à Paris, je lui ai rendu visite, je lui ai raconté une foule de choses intéressantes... Schumann me regardait toujours sans bouger ou regardait en l'air et ne disait pas un mot. Alors je me suis levé d'un bond et je me suis enfui. »

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