Naissance :

en 1970

Artiste lyrique (ténor)

Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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 WAGNER APRÈS WAGNER

Klaus Florian VOGT

par Nicolas CRAPANNE et Cyril PLANTE

Le futur prodige et ténor que s’arrachent aujourd’hui toutes les scènes wagnériennes débute sa carrière artistique par l’apprentissage du cor d’harmonie aux conservatoires de Hanovre et de Hambourg. Il entre à la fin de ses études comme premier cor à l’Orchestre philarmonique de Hambourg. Parallèlement il étudie le chant auprès de Günter Binge au conservatoire de Lübeck.

En 1997, il rejoint la troupe de l’Opéra de Flensburg puis celle du Semperoper de Dresde de 1998 à 2003, sous la direction notamment de Giuseppe Sinopoli et Sir Colin Davis. En 2002, il est remarqué dans le rôle de Florestan dans une production de Fidelio de Beethoven sur la scène de l’Opéra de Flandres. Très vite, les rôles s’enchaînent et sa notoriété explose quasiment du jour au lendemain : un tel talent ne saurait rester plus longtemps inconnu du grand public.

Aujourd’hui, Klaus Florian Vogt est surtout reconnu dans les rôles du répertoire wagnérien dont il s’est fait l’un des plus éminents interprètes et ambassadeurs. Ainsi le ténor s’illustre magnifiquement dans le rôle-titre de Lohengrin, dans le rôle de Walther dans Les Maîtres chanteurs de Nuremberg, en tant que Parsifal tout comme Erik dans Le Vaisseau fantôme ou bien encore en Loge dans L’Or du Rhin (en 2005).

En 2006, il fait ses débuts au Metropolitan Opera dans le rôle-titre de Lohengrin, sous la direction de Philippe Auguin (l’artiste qui avait effectué sa prise de rôle dans Lohengrin à Erfurt deviendra d’ailleurs l’un des interprètes les plus demandés  pour le rôle par les scènes internationales les plus prestigieuses). Et enfin en 2007, il fait partie de la distribution des Maitres chanteurs de Nuremberg, dans la nouvelle production de Katharina Wagner, au Festival de Bayreuth.

Il devient rapidement l’incarnation parfaite du grand ténor héroïque (heldentenor) requis par les opéras de Wagner, mais avec une élégance et une légèreté dans les aigus qui font sa spécificité… et sa « marque de fabrique ». La pureté de sa voix est encensée par une partie (très largement majoritaire) de la critique quand l’autre partie… lui reproche justement cet aspect désincarné qui ne correspond pas à tous les rôles de ténor héroïque.
Mais, car il est sur scène un interprète d’une rare distinction et d’une parfaite musicalité, Klaus Florian Vogt s’avère être aujourd’hui l’un des interprètes wagnériens les plus demandés par les plus prestigieuses scènes lyriques internationales, depuis le prestigieux Festival de Bayreuth, à l’Opéra National de Paris, en passant par le Théâtre de la Scala de Milan ou bien encore la Deutsche Oper ainsi que la Staatsoper de Berlin.

En 2008, Klaus Florian Vogt est récompensé du prix artistique de l’Etat du Schleswig-Holstein. L’artiste signe une exclusivité avec Sony Classical en 2011. En janvier 2012, sort son premier CD dans lequel il interprète des airs de Wagner, Mozart, Weber, ainsi que de Korngold.
La même année, le ténor reçoit un Echo Klassik Music Award, un prix qui le désigne comme « meilleur chanteur de l’année ».

Depuis l’été 2017, Klaus Florian Vogt interprète le rôle de Walther dans la nouvelle production des Maîtres chanteurs de Nuremberg, sous la direction de Philippe Jordan et dans la mise en scène de Barrie Kosky, au Festival de Bayreuth.

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Quand un chien grognait aux mauvaises notes !

Richard Wagner a toujours entretenu une relation très particulière avec les animaux. Il aimait tellement son chien, un Terre-Neuve nommé “Robber”, qu’il composait souvent avec le chien allongé à ses pieds. On raconte même que lorsque Wagner se mettait au piano, le chien grognait si son Maître faisait une mauvaise note, ... comme s’il n'était pas moins que... son critique musical personnel !

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