Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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POLONAISES POUR PIANO, EN RÉ MAJEUR, WWV 23

A : Polonaise, première version pour piano
B : variante pour piano à quatre mains

 

Écrite pour deux versions différentes (la première pour piano à deux mains, la deuxième pour un seul piano à quatre mains), cette “Polonaise” marque une évolution dans la composition de Richard Wagner qui semble ici prendre son élan après les codes de composition reçus de son maître Weinlig. Sinon très originale, l’oeuvre est du moins plaisante et entraînante.

Écrite à la fin de l’année 1831 (en même temps que toutes les premières pièces pour piano significatives de Wagner) et dans l’enthousiasme suscité par la révolte contre l’occupation russe et l’arrivée à Leipzig de réfugiés polonais, les deux versions de la “Polonaise” furent éditées par la maison Breitkopf & Härtel autour de 1866.

NC

Pour accéder à la partition pour piano sur le site www.imslp.org, cliquez ici

Voir également :
– logo_cercle rw « La musique pour piano de Richard Wagner » par Henri Perrier

 

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Georg HERWEGH

(page en cours de rédaction)

(Lire la suite)
Sommaire
Quand un chien grognait aux mauvaises notes !

Richard Wagner a toujours entretenu une relation très particulière avec les animaux. Il aimait tellement son chien, un Terre-Neuve nommé “Robber”, qu’il composait souvent avec le chien allongé à ses pieds. On raconte même que lorsque Wagner se mettait au piano, le chien grognait si son Maître faisait une mauvaise note, ... comme s’il n'était pas moins que... son critique musical personnel !

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