Genre :

Les opéras et drames musicaux.

Titres original :

Rienzi oder der Letzte der Tribunen (WWV 49)

Grand-opéra tragique en cinq actes
Livret et musique de Richard Wagner,
d’après le roman Rienzi, the Last of the Tribunes d’Edward Bulwer-Lytton

Créé le 20 octobre 1842 au Théâtre de la Cour Royale de Saxe (Dresde) sous la direction de Carl Gottlieb Reissiger

Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

RIENZI, LE DERNIER DES TRIBUNS (WWV 49)

Grand-opéra tragique en cinq actes
Livret et musique de Richard Wagner,
d’après le roman Rienzi, the Last of the Tribunes d’Edward Bulwer-Lytton

Créé le 20 octobre 1842 au Théâtre de la Cour Royale de Saxe (Dresde) sous la direction de Carl Gottlieb Reissiger

Distribution :
COLA RIENZI, notaire du pape (ténor)
IRENE, sa soeur (soprano)
STEFFANO COLONNA, chef de la famille Colonna (basse)
ADRIANO, son fils (soprano)
PAOLO ORSINI, chef de la famille Orsini (basse)
Le cardinal ORVIETO (à partir de 1842 : Raimondo), légat du pape à Rome (basse)
BARONCELLI, citoyen romain (ténor)
CECCO DEL VECCHIO, citoyen romain (basse)
Premier messager de la paix (soprano)
Un héraut (ténor)
L’ambassadeur de Milan (basse)
Les ambassadeurs de la Lombardie (ténors et basses)
L’ambassadeur de Naples (ténor)
Les ambassadeurs de Bohème et de Bavière (basses)
Nobles romains, partisans de Colonna et d’Orsini, prêtres et moines de tous les ordres, sénateurs, citoyens et citoyennes de Rome, messagers de la paix, soldats romains (choeurs)
Personnages de la pantomime à l’acte II :
Brutus, Collatinus, Tarquinius, Lucretia, Virginia, la Paix (plus tard, la Déesse de la Paix), vierges de Lucretia, jeunes Romains, soldats de Tarquinius, Romains, chevaliers

L’action se déroule à Rome, vers le milieu du XIVème siècle.

Composition de l’orchestre :
2 flûtes, 1 petite flûte, 2 hautbois, 3 clarinettes, 3 bassons, 1 serpent (ou contrebasson),
4 cors (2 cors naturels, 2 cors à pistons), 4 trompettes (2 naturelles, 2 à pistons), 3 trombones, 1 ophicléide (ou tuba basse),
timbales, tambours, triangles, coches, tam-tam, 1 harpe, cordes.
Derrière la scène : orgue, cloches, 1 trompette
Au IIIème acte : 12 trompettes, 6 trombones, 4 ophicléides, 10 petits tambours, 4 caisses roulantes
cor anglais, 2 clarinettes en la, 2 clarinettes en si bémol,
clarinette basse en la, clarinette basse en si, 3 bassons, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba,
harpes, timbales, cymbales,
violons 1 et 2, altos, violoncelles, contrebasses

Durée approximative de l’oeuvre : environ 3h45

 

Rienzi, le dernier des Tribuns, (Rienzi, der letzte der Tribunen, WWV 49) est le troisième opéra achevé de Wagner et ce que l’on considère généralement comme le dernier de ses opéras de jeunesse. Le sujet est basé sur l’histoire de Cola di Rienzo, plus précisément sur le roman historique d’Edward Bulwer-Lytton, et se déroule dans la Rome médiévale.

Composé entre avril 1839 et octobre 1840, la création de Rienzi eut lieu à Dresde le 20 octobre 1842, soit presque en même temps que celle du Vaisseau Fantôme. Si le premier remporta un triomphe, le deuxième, commandé sans doute à la hâte par les autorités de la Cour du royaume de Saxe devant l’immense succès du premier, ne rencontra pas le même engouement du public ni de la critique.

MVRW-Rienzi-creationAprès s’être essayé au style romantique allemand (Les Fées), puis italien (La Défense d’aimer), Wagner voulait conquérir Paris. Il créa donc une oeuvre dans la veine du « grand opéra à la française » avec la volonté – déjà- de le surpasser : un sujet historique traité en cinq actes avec un ballet au troisième, de grandes scènes permettant de déployer de vastes parties chorales, des décors grandioses animés par des machineries aux effets spectaculaires et pas moins de douze solistes ! Mais l’oeuvre créée initialement pour Paris, et donc pensée sur un livret en français – surnommée par ailleurs par Hans von Bülow de meilleur opéra de… Meyerbeer ! – mit un quart de siècle pour arriver dans la capitale.

Cola DI RIENZO, sculpture de Girolamo Masini (1877), colline du Capitole, Rome

La véritable histoire de Nicola Lorenzo, dit Cola di Rienzo (1313-1354), démarre de façon héroïque. Il s’éleva contre la corruption à Rome, et ce fils de boulanger poussa le peuple à se soulever contre les clans dominants. Il se fit acclamer comme nouveau tribun, mais sa mégalomanie lui valut des ennemis en haut lieu, et il finit assassiné. Wagner reprend les grands traits du roman de Bulwer, mais idéalise le héros.

Pour la création de son oeuvre colossale, Richard Wagner fit appel à la collaboration de chanteurs de renom, dont le ténor Josef Tichatschek (dans le rôle titre) et l’égérie du compositeur, Wilhelmine Schröder-Devrient (dans celui du rôle travesti d’Adriano) qui, par la suite, devait créer les rôles de Senta (Le Vaisseau fantôme) ainsi que celui de Venus (Tannhäuser). Commencée à six heures du soir, la représentation ne finit qu’après minuit. A l’issue du troisième acte, le compositeur raconte qu’il constata horrifié qu’ “ il était aussi tard que si l’on avait joué Le Freischütz tout entier ” (Mein Leben/Ma Vie).  Dès le lendemain de la première, le compositeur envisage d’opérer des coupures dans la partition. Rencontrant l’opposition farouche de Tichatschek qui rétorqua au “père” de l’oeuvre : “ Je ne laisserai rien supprimer – c’est trop divinement beau.”

MVRW Creation RIENZISix représentations de Rienzi eurent lieu les jours suivant la première, rencontrant à chaque soirée un succès identique. Mais, conscient des proportions démesurées de son ouvrage, et surtout afin de mieux faire accepter l’opéra sur d’autres scènes que celle de Dresde, Wagner proposa de couper l’oeuvre en deux soirées distinctes (La Grandeur de Rienzi, puis, le lendemain, La Chute de Rienzi). Cette formule ne séduisit jamais véritablement le public … qui ne voyait pas trop les raisons de payer deux fois le prix de sa place pour assister à l’ouvrage dans son intégralité ! Wagner finit par opérer de sévères coupures dans la partition, et c’est sous des formes “hybrides” que l’opéra est depuis (rarement) représenté sur les grandes scènes internationales.

Sous différentes formes donc, Rienzi fut longtemps un opéra très représenté, en Allemagne notamment. À Dresde, la 100ème représentation fut donnée en 1873, et la 200ème en 1908. Mais la faveur dont il jouit sous le IIIe Reich lui fut fatale. En effet, le héros romantique investi d’une grande mission politique fascina particulièrement Hitler qui se fit offrir une partition autographe de l’opéra par la famille Wagner pour ses cinquante ans, détruite dans l’incendie de Berlin. Régulièrement utilisée dans les films de propagande, l’ouverture de Rienzi devint dans les années l’hymne non-officiel du parti nazi. L’opéra ne s’est jamais remis de cette trop grande faveur.

De plus, très longue, trop longue par moments, la version complète est rarement jouée et/ou enregistrée. Seule l’ouverture est souvent exécutée, en concert notamment.

Il est juste de noter que Wagner lui-même considérait que cette oeuvre était loin de représenter ses vues sur ce que devait être la musique : le compositeur appelait Rienzi son « braillard » ou son « péché artistique de jeunesse ».

SB

Synopsis (argument)

L’action se passe à Rome au milieu du XIVe siècle.
La ville est déchirée par les conflits entre familles patriciennes, en particulier les Orsini et les Colonna, factions rivales représentées par leurs chefs respectifs Paolo Orsini et Steffano Colonna.

Acte I

Rome, une rue qui donne sur la basilique de Saint-Jean de Latran.
Une nuit, les partisans de la famille Orsini sous la direction de Paolo essaient d’enlever la belle Irène. Cette dernière est la sœur de Cola Rienzi, notaire du pape. Les assaillants sont interrompus dans leur tentative par le fils de Colonna, Adriano, et ses partisans des Colonna. S’ensuit une violente bataille à laquelle le peuple finit par être mêlé. Le cardinal Raimondo, légat du pape d’Avignon, tente en vain d’appeler les belligérants à la raison. L’intervention d’Adriano Colonna, amoureux d’Irène, la sauve de ses ravisseurs, mais seule l’arrivée de Rienzi parvient à ramener l’ordre. Raimondo et les patriciens s’étonnent du charisme de ce dernier. Fatigué par les luttes intestines entre les factions de la noblesse, le peuple demande à Rienzi de prendre le pouvoir et de rétablir la paix et de faire revenir le Saint-Siège. Rienzi refuse la couronne royale qui lui est offerte et prend le titre de « protecteur des droits », de tribun du peuple.

Acte II

Au Capitole.
Rienzi a vaincu les nobles et rétablit la paix. Si les nobles ont reconnu les nouvelles lois, l’orgueil du tribun leur inspire l’idée d’un complot. Au cours d’une grande cérémonie, à l’occasion de laquelle il reçoit les messagers de paix venus de toute l’Italie, d’Allemagne et de Bohême, il conteste les modalités de l’élection de l’empereur par les princes allemands et soulève ainsi l’enthousiasme du peuple de Rome. L’assemblée assiste ensuite à une longue pantomime sur « le rapt de Lucrèce ». À l’issue de cette dernière, Orsini tente d’assassiner Rienzi. Adriano s’interpose et l’arme glisse sur la cotte de mailles du tribun. Les parjures sont arrêtés et condamnés à mort, mais le tribun accède alors à la supplique d’Adriano et d’Irene, et accepte de gracier ses ennemis, à la grande déception du peuple qui ne comprend pas pourquoi la loi ne leur est pas appliquée. Ces agissements renforcent la colère des nobles tandis que le peuple commence à douter de Rienzi.

Acte III

Sur la grande place de l’antique forum
Le peuple en émoi vient d’apprendre que les nobles se sont parjurés, ont quitté Rome et s’apprêtent à attaquer la ville. Rienzi, qui se voit reprocher de les avoir graciés doit déployer tout son talent oratoire pour rallier, une fois de plus, le peuple à sa cause. Pris dans un conflit entre son amour pour Irene et ses devoirs filiaux, Adriano tente en vain de concilier les parties adverses. Irène le dissuade de prendre part aux côtés de son père. Les troupes de Rienzi ont lancé l’offensive. On entend bientôt le chant victorieux et les sonneries festives des trompettes. Le tribun revient vainqueur et est porté en triomphe par la foule. Lorsqu’on apporte les cadavres Paolo Orsini et Steffano Colonna., un sentiment d’effroi s’empare de la foule, tandis qu’Adriano jure de venger la mort de son père, tombé durant l’affrontement.

Acte IV

La nuit sur une place devant l’église du Latran.
Rienzi a de nouveau perdu la confiance du peuple. Des citoyens critiquent, à la nuit tombée, l’exercice démagogique du pouvoir par le tribun qui cherche à s’allier à la noblesse et provoque un conflit avec l’Église et le pape. Baroncelli essaie de la gagner à la cause des adversaires du tribun, dont Adriano prend la tête. La décision est prise de l’assassiner. Le jour se lève. Rienzi arrive en tête d’un cortège solennel pour assister à un Te Deum donné en son honneur dans la basilique Saint-Jean-de-Latran. La foule le menace, mais, grâce à un habile discours, il parvient à la reconquérir. Arrivé au pied de l’église, les portes se ferment devant lui, et le cardinal Raimondo affiche la bulle du pape : Rienzi est mis au ban de l’Église. La foule se détourne du tribun et s’enfuit. Tous se détournent de Rienzi, à l’exception de sa sœur Irène, qui demeure à ses côtés contre le gré d’Adriano.

Acte V

Une salle du Capitole
Reclus au Capitole, Rienzi, agenouillé devant un petit autel, implore Dieu de ne pas l’abandonner. Irène entre. Rienzi lui confie qu’il a toujours voulu l’élévation du peuple et qu’il n’a jamais eu d’autre fiancée que Rome. Irène lui assure de son indéfectible fidélité. Le Capitole est pris d’assaut par la foule qui livre le bâtiment aux flammes. Adriano tente de convaincre Irène à le suivre. La foule se précipite avec torches et flambeaux afin de tuer un Rienzi désormais banni. Le tribun se montre, mais ses discours n’ont plus d’effet. Les murs du bâtiment s’écroulent sur lui, ensevelissant en même temps Irene et Adriano, revenu pour tenter de sauver sa bien-aimée. Au même moment, les nobles portent une attaque violente contre le peuple.

 

SYNOPSIS, extrait du site internet du Cercle Belge francophone Richard Wagner
https://www.cerclewagner.be/
Sources :
Boukobza, Jean-François, Argument In Wagner : Rienzi. L’Avant-scène opéra, septembre 2012, n°270, p.10-11
Candoni, Jean-François, Rienzi In Picard, Timothée (dir.). Dictionnaire encyclopédique Wagner. Actes Sud, 2010, P. 1814-1815.

Articles thématiques

Sur la genèse de l’oeuvre

- RIENZI, UN COUP D’ESSAI DE WAGNER… OU LE TRIOMPHE DE MEYERBEER ?
par Nicolas CRAPANNE
Durant ses postes de chef des chœurs ou de Kappelmeister à Magdebourg, puis à Riga (dans les années 1830), le chef d’orchestre qu’est Wagner est imprégné par la musique (ou devrait-on plutôt dire « les musiques ») qu’il dirige tous les soirs à l’Opéra. Des œuvres de ses contemporains pour la plupart car on a alors relégué les œuvres baroques ou classiques du XVIIIème au second plan : le public veut de l’actuel et se montre particulièrement avide de nouveautés. Des œuvres de tous genres et nationalités. Ainsi, ce sera un soir Rossini ou Bellini, le lendemain, Auber ou Halévy, un autre jour soir encore, Beethoven ou Weber. Plus rarement, Gluck ou Mozart. Ce qui fait du jeune Wagner le premier « musicien européen » (lire la suite...)

Sur la création de l’oeuvre

- LA CRÉATION FRANCAISE DE RIENZI
par Nicolas CRAPANNE
Critiques : L'Orchestre (13 avril 1869) / Le Temps (13 avril 1869). Après les jugements franchement hostiles d’Albert Wolff dans Le Figaro, plus mesuré du Ménestrel et ceux sans grande sympathie pour la musique ou teintés d’humour du Gaulois, de l’Éclipse et de La Chronique illustrée, voici une tonalité plus favorable dans l’article de Félix Baudillon dans L’Orchestre (lire la suite...)

- LA CRITIQUE DE THEOPHILE GAUTIER à l’occasion de la création de l’oeuvre à Paris (Journal Officiel, 12 avril 1869)
par Nicolas CRAPANNE
Rarement la curiosité parisienne avait été plus vivement surexcitée que par les simples mots inscrits sur l′affiche du Théâtre-Lyrique : « Mardi, première représentation de Rienzi, opéra en cinq actes, de Richard Wagner. » Dans un temps où certes la préoccupation n′est pas aux œuvres d′art, Wagner a le don de passionner la foule, de provoquer des enthousiasmes frénétiques et des répulsions violentes. Son nom prononcé assemble les nuages dans le ciel le plus serein. L′orage se forme aussitôt ; les éclairs se dégagent en lueurs palpitantes, le tonnerre gronde, la foudre éclate à travers la pluie, le vent et la grêle. (lire la suite...)

Les partitions

(avec l’accord du site internet www.imslp.org)

accès à l’intégrale de la partition pour orchestre en cliquant sur le lien suivant : http://hz.imslp.info/files/imglnks/usimg/e/e6/IMSLP515487-PMLP21247-Wagner_-_Rienzi.pdf

Langue allemand / anglais / italien
Traducteur Josiah Pittman (1816-1888), English
Informations sur la maison d'édition Berlin: Adolph Fürstner, n.d.[1896]. Plate A. 5970 F.
Réimpression Mainz: Schott, n.d. n.p.
Droits d'auteur

accès à la partition chant/piano en cliqaunt sur le lien suivant :
http://hz.imslp.info/files/imglnks/usimg/6/66/IMSLP172908-PMLP21247-RWagner_Rienzi_Brissler_vs.pdf

Arrangeur Friedrich Brissler (1818–1893)
Langue allemand
Informations sur la maison d'édition Berlin: C.F. Meser, n.d.[1875].
Réimpression Berlin: Adolf Fürstner, n.d. [ca.1890]. Plate A. 2830 2842 F.
Droits d'auteur

 

Trois extraits de Rienzi :

Ouverture :

Marche de l'acte III :

Prière de Rienzi :

Cet article est protégé

En savoir plus Cet article est protégé par les droits d’auteur. Toute copie ou reproduction est strictement interdite.
LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
LES COURANTS DE PEINTURE MODERNE INSPIRÉS PAR L’UNIVERS WAGNÉRIEN : SALVADOR DALI ET RICHARD WAGNER AU CHATEAU DE PUBOL
par Pierre-François PUECH, commentateur Ami du Musée Fabre

Le château de Pubol de La Bisbal, acquis par Dali en 1969, est un monument consacré à la gloire de Gala et de Richard Wagner. Construit depuis un château qui remonte au XIVème siècle, cet espace a atteint les proportions de la perfection raphaélite lorsque Dali y a installé son… (Lire la suite)

Année 1859

Début de l’année 1859 Le début de l’année 1859 est marqué par les démarches que Richard Wagner entreprend afin d’obtenir sa réhabilitation en Allemagne. A son souci de ne pas pouvoir rentrer dans sa patrie se joignent des problèmes financiers grandissant qui ne vont pas tarder à décider de son… (Lire la suite)

Genre :

Les opéras et drames musicaux.

Titres original :

Rienzi oder der Letzte der Tribunen (WWV 49)

Grand-opéra tragique en cinq actes
Livret et musique de Richard Wagner,
d’après le roman Rienzi, the Last of the Tribunes d’Edward Bulwer-Lytton

Créé le 20 octobre 1842 au Théâtre de la Cour Royale de Saxe (Dresde) sous la direction de Carl Gottlieb Reissiger

Sommaire
Quand un chien grognait aux mauvaises notes !

Richard Wagner a toujours entretenu une relation très particulière avec les animaux. Il aimait tellement son chien, un Terre-Neuve nommé “Robber”, qu’il composait souvent avec le chien allongé à ses pieds. On raconte même que lorsque Wagner se mettait au piano, le chien grognait si son Maître faisait une mauvaise note, ... comme s’il n'était pas moins que... son critique musical personnel !

LIENS UTILES
Pas de liens utiles
TAGS
Partagez cette page avec vos amis !

Appeller le musée

16, Boulevard Saint-Germain 75005 Paris - France

Français / English / Deutsch