Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER

Année 1844

2-4 janvier 1844

Richard Wagner se rend de Dresde à Berlin pour les répétitions du Vaisseau fantôme.

7 janvier 1844

Première représentation à Berlin du Vaisseau fantôme, dirigée par le compositeur, en présence du roi Frédéric-Guillaume IV de Prusse. A l’issue du spectacle, le compositeur reçoit les félicitations de Felix Mendelssohn.

9 janvier 1844

Seconde représentation à Berlin du Vaisseau fantôme, toujours sous la direction du compositeur.
Malgré l’enthousiasme du compositeur, les critiques émanant du monde musical sont pour la plupart négatives, notamment celles du critique Ludwig Rellstab (1799-1860), particulièrement influent dans le monde musical germanique de l’époque.

11-17 janvier 1844

Retour de Wagner à Dresde. Dès son retour, le compositeur s’attache à achever l’ébauche d’orchestration du premier acte de Tannhäuser.

29 février 1844

A l’occasion d’un séjour à Dresde, Franz Liszt assiste à une représentation de Rienzi donné sur sa demande.

21 et 24 mars 1844

Rienzi est créé à Hambourg, au cours de deux représentations sous la direction du compositeur.

25 juin 1844

Richard Wagner conclut avec l’éditeur de musique de la Cour, C.F. Meser, un contrat concernant l’édition et la vente de ses partitions à compte d’auteur.
Entre temps, Wilhelmine Schröder-Devrient qui avait déjà prêté de l’argent au compositeur au début de l’année 1843, refuse de faire d’effectuer de nouvelles avances financières au profit de son ami compositeur. Simultanément, plusieurs théâtres allemands renvoient au compositeur les partitions de Rienzi et du Vaisseau fantôme : c’est le retour du compositeur à une succession de déboires financiers dont Wagner ne verra pas la fin avant longtemps.

12 août 1844

A l’occasion du retour d’Angleterre du roi de Saxe à la Cour, Wagner compose la Salutation de ses fidèles sujets à Frédéric-Auguste le Bien-aimé, exécutée et chantée sous la direction du compositeur au manoir de Pillnitz. Dans cette œuvre de circonstance, on entrevoit l’ébauche de la marche que l’on retrouve au deuxième acte de Tannhäuser.

Septembre et première quinzaine d’octobre 1844

Dans les vignobles de Loschwitz, Wagner rédige en six semaines l’ébauche de l’orchestration de Tannhäuser.

15 octobre 1844

De retour à Dresde, Wagner dirige la préparation des représentations de La Vestale de Spontini.
A cette occasion, le compositeur de l’opéra lui-même fait le voyage à Dresde. Wagner rapporte son entrevue avec Spontini dans son autobiographie que ce dernier déclare “avec franchise qu’il m’aime bien et veut maintenant m’en donner une preuve tangible en me préservant du malheur de poursuivre ma carrière de compositeur dramatique.” (Mein Leben)

10 novembre 1844

En prévision du retour de la dépouille de Carl Maria von Weber à Dresde (décédé le 5 juin 1826 à Londres), Wagner écrit les paroles et la musique d’un chœur pour voix d’hommes qui devront être interprétés à l’occasion de la cérémonie.

15 novembre 1844

Wagner compose une Symphonie Funèbre sur des motifs d’Euryanthe en prévision du retour de la dépouille de Carl Maria von Weber à Dresde.

La tombe de Carl Maria von Weber inhumé le 14 décembre 1844 au cimetière catholique de Friedrichstadt à Dresde

14 décembre 1844

Retour de la dépouille de Carl Maria von Weber à Dresde, ramenée de Londres.
Au cimetière catholique de Friedrichstradt, Wagner dirige la Symphonie Funèbre sur des motifs d’Euryanthe, WWV73 composée pour quatre-vingts instruments à vents et tambours.

15 décembre 1844

Sur le tombeau de Carl Maria von Weber, Wagner lit l’oraison funèbre, profondément ému (il s’arrête au milieu de son oraison, bouleversé par l’émotion).
Le chœur d’hommes interprète le chant Hebt an den Sang, WWV72 composé en novembre dernier.

29 décembre 1844

Wagner achève l’ébauche d’orchestration du troisième acte de Tannhäuser.

Cet article est protégé

En savoir plus Cet article est protégé par les droits d’auteur. Toute copie ou reproduction est strictement interdite.
LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
TROIS ANECDOTES SUR LES REPRÉSENTATIONS DE SIEGFRIED
(Siegfried, WWV 86C)
par Nicolas CRAPANNE et Stéphanie BARUT

Siegfried, deuxième journée de La Tétralogie, est non seulement l’un des opéras les plus populaires de Richard Wagner mais également le noyau central de toute l’épopée du Ring. Pendant les quatre heures que dure l’opéra, on voit Siegfried grandir et évoluer : d’un jeune adolescent turbulent, le héros se fera… (Lire la suite)

Ernest VAN DYCK
par Cyril PLANTE

Ernest Van Dyck nait à Anvers et suit ses études dans une école de Jésuites, puis il étudie le droit et la philosophie à Louvain, avant de décider de devenir chanteur. Un notaire chez qui il avait étudié le présente au chef d’orchestre Joseph Dupont. Puis Van Dyck devient journaliste… (Lire la suite)

Sommaire
Quels artistes interprétèrent les rôles-titres lors de la création de Tristan et Isolde le 10 juin 1865 à Munich ?

Réponse : Ludwig Schnorr von Carolsfeld (1836-1865) et son épouse Malvine (1825-1904). Quelques semaines plus tard, Ludwig Schnorr von Carloslfeld mourut de manière soudaine, âgé de seulement vingt-neuf ans.

LIENS UTILES
Pas de liens utiles
TAGS
Partagez cette page avec vos amis !

Appeller le musée

16, Boulevard Saint-Germain 75005 Paris - France

Français / English / Deutsch