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Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
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DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

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UNE OEUVRE

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L’AVENTURE DE BAYREUTH

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WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

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Lilli LEHMANN

(née le 24 novembre 1848 – décédée le 17 mai 1929)

Soprano

A plusieurs reprises, Wagner chercha parmi les chanteurs meyerbériens expérimentés les futurs interprètes de ses œuvres pour trouver la distribution idéale.

Lilli Lehmann, de son vrai nom Elisabeth Maria Lehmann, fut l’une d’entre eux. Elle s’était notamment illustrée dans le rôle de Marguerite de Valois des Huguenots quand Wagner s’intéressa à elle. Travailleuse acharnée, elle gagna régulièrement en ampleur et en puissance, ce qui lui valut un passeport pour le premier festival de Bayreuth. Ainsi en 1876, pour la création de la Tétralogie, elle fut la première Woglinde dans L’Or du Rhin, la première Ortlinde dans La Walkyrie et le premier Oiseau de la forêt dans Siegfried. Lors du festival de 1882, elle fut l’une des filles-fleurs, avant d’obtenir en 1896 le rôle écrasant de Brünnhilde.

En d’autres théâtres, elle fut une merveilleuse Isolde, et les enregistrements tardifs de ses rôles donnent une idée de la splendeur qui fut la sienne.

Avec un répertoire de quelque 170 rôles, elle a couvert les œuvres allant de Mozart à Bellini, de Wagner à Verdi, faisant même un détour par Offenbach.

Sa vie privée fut calme, mais engagée.  Elle s’était mariée en 1888 avec le ténor Paul Kalisch mais trop indépendante pour supporter les contraintes de la vie conjugale, elle s’en sépara. Décidée et engagée, elle s’investit à partir de 1905 dans l’organisation du festival de Salzbourg (prédécesseur du festival actuel), dont elle assuma la direction artistique. Amoureuse de son art, elle donna des cours de chant, et publia en 1902 un ouvrage de pédagogie qui a fait référence, Meine Gesangskunst (« Mon Art du chant »), suivi de son autobiographie, Mein Weg (« Mon chemin »). Végétarienne, amie et protectrice des animaux, elle lutta aussi contre la vivisection.

Née en Bavière, elle mourut à Berlin, après avoir chanté sur les plus grandes scènes du monde, dont le Metropolitan Opera de New-York.

NC

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DES PREMIÈRES ESQUISSES AU TEXTE DÉFINITIF DE LA PARTITION : LES AVATARS DU LIVRET DES MAITRES CHANTEURS
(Les Maîtres chanteurs de Nuremberg, WWV 96)
par Pascal BOUTELDJA

C’est en juillet 1845, au cours de ce fameux séjour à Marienbad où il conçut également son Lohengrin, que Wagner écrivit un premier plan scénique des Maîtres Chanteurs. Il avait lu L’Histoire de la littérature allemande de Gervinius et avait pris un grand intérêt pour le personnage de Hans Sachs…. (Lire la suite)

Johanna Rosine PÄTZ
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La mère de Richard était née à Weissenfels, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Leipzig, le 19 septembre 1774[1]. Elle était le sixième enfant (et le quatrième de ceux restés en vie) du boulanger ou meunier Johann-Gottlob Pätz et de sa première femme, Dorothea Erdmuthe, née Iglisch, fille… (Lire la suite)

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Sommaire
Ce poète révolutionnaire était ami de Karl Marx et familiarisa Wagner avec l’œuvre de Schopenhauer. Wagner et Liszt lui ont proposé en 1855, sur le Rütli au bord du lac des Quatre-Cantons, de se tutoyer, alors qu’ils buvaient à la fraternité. Cosima était par ailleurs la marraine de son fils. Qui était-ce ?
Réponse :

Georg Herwegh (1817-1875). Il est également l'auteur de l'Hymne Fédéral mis en musique par Hans von Bülow.

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