Première journée du festival scénique “L’Anneau du Nibelung”
(“Der Ring des Nibelungen”) ou “La Tétralogie”
Poème et musique de Richard Wagner, dédiés au roi Louis II de Bavière
(année de composition : 1854)
Publication de la partition en version piano-chant : 1861
Publication de la partition de la version orchestrée : 1873 (Editions B. Schott’s Söhne, Mainz)
Créé le 26 juin 1870 au Hoftheater de Munich, sous la direction de Franz Wüllner
Créé le 14 août 1876 au Festival de Bayreuth, sous la direction de Hans Richter
Distribution :
Siegmund (ténor)
Wotan (baryton)
Hunding (basse)
Sieglinde (soprano)
Brünnhilde (soprano)
Fricka (mezzo-soprano)
Les Walkyries :
Gerhilde (soprano)
Ortlinde (soprano)
Waltraute (mezzo-soprano)
Schwertleite (contralto)
Helmwige (soprano)
Siegrune (mezzo-soprano)
Grimgerde (contralto)
Rossweisse (contralto)
Composition de l’orchestre :
16 premiers violons, 16 seconds violons, 12 altos, 12 violoncelles, 8 contrebasses, 6 harpes,
3 flûtes, 2 petites flûtes, 4 hautbois, 1 cor anglais, 3 clarinettes, 1 clarinette basse, 3 bassons,
8 cors, 3 trompettes, 1 trompette basse, 3 trombones, 1 trombone contrebasse, 2 tubas ténors, 2 tubas basses, 1 tuba contrebasse,
2 paires de timbales, 1 triangle, 1 tam-tam, 1 paire de cymbales, 1 glockenspiel, 1 tambour
Durée approximative : environ 3h30
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Parsifal, l’ultime oeuvre de Wagner, n’eut à proprement parler qu’une première, la création le 26 juillet 1882 au Festspielhaus de Bayreuth. La volonté de l’auteur, défendue farouchement aprés sa mort par Cosima, avait été de réserver pour Bayreuth les représentations de Parsifal. Mais cette exclusivité n’allait jouer, et encore imparfaitement… (Lire la suite)
Sept compositions pour le « Faust » de Goethe, ensemble de pièces vocales pour soprano, ténor, basse, choeur et piano, WWV 15 (composées en 1832), Curieusement, Richard Wagner n’a jamais manifesté un grand intérêt pour Goethe et très peu pour son Faust . C’est ainsi que ses Sept Pièces pour… (Lire la suite)
Robert Schumann. Wagner, quant à lui, raconte : « Nous sommes en bons termes en apparence ; mais on ne peut pas fréquenter Schumann... Peu après mon arrivée à Paris, je lui ai rendu visite, je lui ai raconté une foule de choses intéressantes... Schumann me regardait toujours sans bouger ou regardait en l'air et ne disait pas un mot. Alors je me suis levé d'un bond et je me suis enfui. »
Découvrez l’univers de Richard Wagner à travers notre musée dédié à sa vie et son œuvre. Nous vous invitons à explorer ses créations, son héritage et son influence durable sur la musique.
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