Mvrw Parsifal Joukossky
PARSIFAL (WWV 111)
PARSIFAL, analyse psychologique et vocale du rôle
(Parsifal, WWV 111)
KUNDRY, analyse psychologique et vocale du rôle
(Parsifal, WWV 111)
KLINGSOR, analyse psychologique et vocale du rôle
(Parsifal, WWV 111)
QUAND PERCEVAL ET TRISTAN SE CROISENT, EN MUSIQUE
(Parsifal WWV 111)
PARSIFAL EST-IL CATHOLIQUE ?
(Parsifal, WWV 111)
LES PREMIÈRES DE PARSIFAL
(Parsifal, WWV 111)
LE PARZIVAL DE WOLFRAM VON ESCHENBACH (Parsifal, WWV 111)
LA MELODIE CONTINUE DANS PARSIFAL. ETUDE TECHNIQUE
(Parsifal, WWV 111)
L’ENCHANTEMENT DU VENDREDI-SAINT
(Parsifal, WWV 111)
KUNDRY, UNE FEMME NOMMEE DESIR
(Parsifal, WWV 111)
ICI LE TEMPS DEVIENT ESPACE (Parsifal, WWV 111)
DEUX ASPECTS DU « RIRE » DANS LE LIVRET DE PARSIFAL
(Parsifal, WWV 111)
« PARSIFAL EN DECORS NATURELS »
(Parsifal, WWV 111)
« – ET, Ô CES VOIX D’ENFANTS CHANTANT DANS LA COUPOLE ! »
(Parsifal, WWV 111)
« LA MÉLODIE CONTINUE » DANS PARSIFAL DE RICHARD WAGNER (1882) ET SALOMÉ DE RICHARD STRAUSS (1905). ETUDE TECHNIQUE COMPARATIVE
(Parsifal, WWV 111)
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Les salles d’expositions permanentes

Section I

UNE VIE

Section II

DANS L’INTIMITÉ DE RICHARD WAGNER

Section III

UNE OEUVRE

Section IV

L’AVENTURE DE BAYREUTH

Section V

ILS ONT CRÉÉ WAGNER ET LE MYTHE WAGNÉRIEN

Section VI

 LIEUX DE VIE, LIEUX D’INSPIRATION

Section VII

WAGNER POUR LA POSTÉRITÉ

Section VIII

 WAGNER APRÈS WAGNER
Scroll Left 1 Svgrepo Com

PARSIFAL, WWV 111

par Nicolas Crapanne

Festival scénique sacré (Bühnenweihfestspiel) en trois actes
Livret et musique de Richard Wagner

Création le 26 juillet 1882 au Festspielhaus de Bayreuth sous la direction de Hermann Levi

Distribution :
AMFORTAS, prêtre-roi du Graal (baryton-basse)
TITUREL, ancien roi, père d’Amfortas (basse)
GURNEMANZ, doyen des chevaliers du Graal, compagnon d’armes de Titurel (basse)
KLINGSOR, magicien, ex-chevalier du Graal (baryton-basse)
PARSIFAL, jeune homme innocent tenue éloigné du monde par sa mère (ténor)
KUNDRY, à la fois servante du Graal et servante tenue en servitude par Klingsor (mezzo-soprano ou soprano)
PREMIER ET DEUXIEME CHEVALIER DU GRAAL (ténor et basse)
QUATRE ECUYERS (deux sopranos et deux ténors)
FILLES-FLEURS DE KLINGSOR (six solistes – sopranos et altos – et deux choeurs de douze chanteuses chacun – sopranos et altos)
UNE VOIX D’EN HAUT (alto)
Les chevaliers du Graal (ténors et basses)
Voix d’enfants (invisibles dans les hauteurs) (sopranos et altos)

L’action se déroule à Montsalvat, dans le domaine et la forteresse des gardiens du Graal, ainsi que dans le château et le jardin enchanté du magicien Klingsor

Composition de l’orchestre :
3 flûtes, 3 hautbois, 1 cor anglais, 3 clarinettes, 1 clarinette-basse, 3 bassons, 1 contrebasson,
4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, 1 tuba-basse
2 timbales, 2 harpes
32 violons, 12 altos, 12 violoncelles, 8 contrebasses
Musique de scène :
6 trompettes, 6 trombones, cloches, tambour grave, machine à tonnerre

Durée approximative de l’oeuvre : entre 3h40 et 4h50 (selon les directions)

 

 

PARSIFAL de Richard Wagner, transcription pour piano seul par Joseph Rubinstein (couverture de l’édition originale – éditions Schott)

Parsifal (plus qu’un opéra, un “Festival scénique sacré en trois actes” pour respecter l’appellation même de Richard Wagner) est l’ultime drame musical du compositeur. L’oeuvre porte le numéro 111 dans le catalogue WWV des oeuvres du compositeur.

Composé expressément pour le Festival de Bayreuth où il fut créé lors de sa deuxième édition le 26 juillet 1882, l’oeuvre – un temps exclusivement représenté en ses murs – demeure l’apanage du Festival où il est représenté presque chaque année. Oeuvre ambiguë – opéra ? oratorio ? voire messe ? – mêlant à foison le symbolisme et la spiritualité, le Chant du cygne du Maître de Bayreuth est également l’une des plus longues oeuvres du  répertoire lyrique, sa durée, selon les chefs, pouvant aller jusqu’à près de cinq heures de musique.

Dès ses plus jeunes années, Richard Wagner s’est intéressé aux légendes médiévales : celles de Tannhäuser et de Lohengrintout d’abord, puis très vite il a été fasciné par la quête du chevalier à la recherche du Graal. Durant l’été 1845, alors qu’il réside avec son épouse Minna à Marienbad, le compositeur découvre l’épopée de Wolfram von Eschenbach, Parzival, dans les adaptations de San Marte et de Simrock et l’idée d’un drame musical commence à germer. Toutefois, Wagner abandonne le projet au profit d’autres plus populaires, moins mystiques, et c’est par Tristan et Isolde que l’idée lui revient en tête. Au moment où Tristan, à l’acte III de l’ouvrage, agonise, Wagner envisage même un temps de faire figurer Parsifal en quête du Graal comme la figure d’une quête vers l’absolu : Isolde, le Graal, quelle que soit donc la nature de cette quête (lire la suite…)

…. pour aller plus loin (onglet suivant)

 

Group 1077

Cet article est protégé

En savoir plus Cet article est protégé par les droits d’auteur. Toute copie ou reproduction est strictement interdite.
LES ARTICLES SUIVANTS SONT SUSCEPTIBLES DE VOUS INTÉRESSER
ELEGIE, WWV93

Cette œuvre fragmentaire (feuille d’album) en la bémol majeur semble avoir été écrite par Wagner en 1869. Cette page fut longtemps considérée comme une œuvre tardive (cf. les dernières notes qu’il traça à Venise avant sa mort en 1883). Wagner la joua dit-on la veille de sa mort, au Ca’… (Lire la suite)

LES RÉFÉRENCES AUX ÉCRITURES SACRÉES DANS LES MAITRES CHANTEURS DE NUREMBERG
(Les Maîtres chanteurs de Nuremberg, WWV 96)
par Bernard REYDELLET

Parmi les drames lyriques que Richard Wagner nous a laissés en dépôt, Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg occupent une place très particulière. C’est la seule véritable “comédie”, si l’on excepte La Défense d’aimer, œuvre de jeunesse que l’on n’a guère l’habitude de représenter. C’est donc la seule œuvre où la… (Lire la suite)

Mvrw Parsifal Joukossky

Section I

Une vie
Sommaire
Friedrich Nietzsche (1844-1900) était souvent en visite à Tribschen, au bord du Lac des Quatre-Cantons. Que s’est-il passé là-bas lors de sa visite en juin 1869 ?
Réponse :

Siegfried Wagner naquit le 6 juin 1869. À cette époque, Friedrich Nietzsche était professeur de philologie classique à Bâle. D'abord admirateur de l'œuvre de Wagner, Nietzsche s'est progressivement distancié de son Maître et devint par la suite un adversaire acharné de Wagner. Parmi ses écrits figurent notamment les essais Considérations intempestives : Richard Wagner à Bayreuth (1876) et Le Cas Wagner (1888).

Partagez cette page avec vos amis !
LIENS UTILES
Pas de liens utiles

Nous contacter

16, Boulevard Saint-Germain 75005 Paris - France

Français / English / Deutsch